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Page 2) Communiqué de presse et publication

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Page 5) Combien d'animaux cruellement massacrés par les loups en France?


assemblée générale de la FAR

Pour une campagne et une montagne vivantes et dynamiques sans loup

AG





jeudi 28 juillet 2011

communiqué de presse MEDDTL

COMMUNIQUE DE PRESSE Evolutions du protocole « loup » : vers un dispositif plus ajustable pour faire baisser la pression sur le pastoralisme Nathalie KOSCIUSKO-MORIZET, Ministre de l’Écologie, du Développement durable, des Transports et du Logement a reçu, à leur demande, Henriette MARTINEZ, Députée des Hautes-Alpes, et Daniel SPAGNOU, Député des Alpes-de-Haute-Provence, accompagnés d’une délégation composée des deux présidents des deux chambres départementales d’agriculture, d’élus et d’éleveurs d’ovins. Cette rencontre fait suite aux deux attaques de loup sur la vallée de l’Ubaye (Alpes-de- Haute-Provence) survenues ces dernières semaines à Méolans-Revel et Enchastrayes qui ont provoqué la mort ou la disparition d’une centaine d’ovins. Les élus et les éleveurs ont rendu compte à la ministre de l’augmentation du nombre d’attaques depuis 2 ans et de son impact économique, notamment pour des éleveurs engagés sous signe qualité tel que le label « agneau de Sisteron ».
Au 25 juillet 2011, on dénombrait 583 attaques et 2115 victimes, soit une augmentation d’environ 25 % des attaques et de 18 % des victimes par rapport à 2010.La Ministre a réaffirmé que le statut d’espèce protégé du loup, au titre de la Convention de Berne mais également de la Directive européenne « Habitat », ne s’opposait en aucune façon à la volonté ferme de l’Etat de diminuer la pression du loup sur les élevages.
Nathalie KOSCIUSKO-MORIZET a rappelé les évolutions validées cet hiver par le Groupe national loup pour assouplir le protocole et faciliter la mise en oeuvre des tirs de défense ou de prélèvement lorsque la situation le justifie. Les différentes possibilités d’intervention prévues par l’arrêté du 9 mai 2011 étant encore trop peu connues, la ministre demande aux Préfets, en s’appuyant sur l’Office Nationale de la Chasse et de la Faune Sauvage (ONCFS), de renforcer l’information et la formation des personnes habilitées à effectuer ces tirs (éleveurs, bergers, lieutenants de louveterie, chasseurs).
Au cours de cette réunion, il a été décidé de proposer au prochain groupe national loup, d’ajuster le protocole à la réalité de l’expansion de la population de loup
Enfin, le nombre de prélèvements maximum fixé à 6 loups sur la période 2010/2011 pourra être revu chaque année en fonction de la population estimée, du rythme de son accroissement et des dégâts occasionnés.
1 en étudiant la possibilité d’une« territorialisation » de la mise en oeuvre des tirs de défense. Il s’agit de permettre à l’ensemble des éleveurs situés dans une zone reconnue à risque de défendre leur troupeau dès les premières attaques sans autre procédure administrative2.

6 commentaires:

  1. A propos de la réunion de Paris D'hier...

    Comme d'habitude, une fois de plus l'Etat fuit ses responsabilités et laissera encore proliférer les loups, en s'abritant derrière des accords internationaux dont il serait simple et légal de se défaire. (Article 23 de la Convention de Berne).

    Des mesurettes encore décidées à la va-vite, incapables d'infléchir la courbe ascendante meurtrière des attaques et des victimes.

    Celà n'est pas aux éleveurs ni même aux bergers de "s'occuper" du loup mais bien à l'Etat qui laisse pourrir la situation.

    Des tirs de défense avec des "pétoires" portant a 40 metres, 6 loups prélevables sur un minimum de 400, et au moins 60 dans les Hautes Alpes ( concédés en pleine réunion préfectorale devant témoins courant décembre).

    De qui se moque t'on ?

    Les quelques pantins sensés nous représenter à Paris, et qui béatement, s'estiment satisfaits, auront des comptes à nous rendre lors des bilans de fin d'année.

    yeti05 berger salarié.

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  2. euh ... l'utilisation d'armes à canon rayée est autorisée désormais pour le tir de défense ... c'est pas un peu plus que des "pétoires portant à 40 mètres" ?

    "un minimum de 400 loups" ... comptabilisés à partir de quelle méthode ?

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  3. Autorisé, sauf erreur, dans le cadre des tirs de defense ''renforces'' soumis a autorisation speciale.

    Pour ce qui est de ma méthode de comptage....

    Au cours de la reunion préfectorale 05 de decembre, yannick Leonard, haut responsable loup a l'oncfs a scientifiquement estimé pour le 05 la population de loups a 30 individus.

    L'assistance surprise n'a pas manque de lui faire remarquer qu'avec 542 victimes, ces loups avaient un sacré appetit !
    Yannick Leonard a fini par conceder qu'au regard de la prédation : il pourrait y en avoir le double !!!

    Toute l'assemblee ,Jeunes agriculteurs, éleveurs, un berger local, mme la Prefete en ont ete les témoins atteres.

    Aussi 542 victimes pour 60 loups nous fait entre 9 et 10 victimes/loup, en sus de la faune sauvage. .

    Avec un total de 4189 victimes constatees par les agents de l'etat assermentés pour l'ensemble du territoire , le calcul a partir de la prédation est simple a faire.....

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  4. ah oui je comprends ... c'est original de compter les moutons morts pour en déduire les loups vivants.... alors quand un loup fait dérocher 450 bêtes d'un coup, il compte pour un loup ou pour 45 loups ?

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  5. C'est une moyenne,.

    Il est vrai que cela reste aussi empirique que de compter des crottes ou des hurlements au sommet d'un col.

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  6. parce qu'il y en a qui comptent des crottes ??? Les hurlements je croyais que c'était juste pour savoir s'il y avait des jeunes ou pas ?

    va falloir que je révise grave !

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