Pour que l'action de cette fédération continue penser a adhérer

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assemblée générale de la FAR

Pour une campagne et une montagne vivantes et dynamiques sans loup

AG





mercredi 27 juillet 2011

Spagnou, Kosciusko et le loup : la réponse du berger à la bergère

http://www.laprovence.com/article/a-la-une/spagnou-kosciusko-et-le-loup-la-reponse-du-berger-a-la-bergere
"Dès hier et devant ce que le député a appelé "une urgence vitale", "
Enfin des élus qui comprènent le problème...

" La convention de Berne qui donne au loup le statut "d'espèce strictement protégée" doit évoluer pour lui donner le statut moins contraignant "d'espèce protégée". Et la France s'honorerait de vouloir protéger ses éleveurs, comme le fait déjà la Suisse ou la Suède." "

Quand a la convention de berne? Ce n’est pas un problème, on en sort quand on veut !

Si le problème par rapport aux loup, comme aux ours et autres grands prédateurs, est lié à la Convention de Berne, il existe un moyen très simple de le résoudre. En effet cette Convention n’est contraignante que pour autant qu’un pays signataire en accepte les contraintes. Si, à l’usage et c’est ici largement le cas, elle lui paraît inadaptée à sa réalité, il peut s’en dégager quand il le veut, comme il le veut.

Son article 23 est sur ce plan très clair : « Article 23 -1- Toute Partie contractante peut, à tout moment, dénoncer la présente Convention en adressant une notification au Secrétaire Général du Conseil de l'Europe.
 -2- La dénonciation prendra effet le premier jour du mois qui suit l'expiration d'une période de six mois après la date de réception de la notification par le Secrétaire Général. »

Ce n’est pas compliqué …

La biodiversité c’est bien plus complexe que quelques espèces emblématiques et médiatiques Nos montagnes sont des milieux semi naturels où la place de l’homme et de ses troupeaux est essentielle au maintien de leur richesse biologique. Les transformer en zones sauvages pour complaire à quelques groupes de pression ce n’est pas préserver mais transformer ce milieu.
Alors que l’un des défis du XIX° siècle sera de nourrir la planète, l’élevage extensif, longtemps marginalisé, est appelé à jouer un nouveau rôle. Il est tout à fait paradoxal que les mêmes associations qui vouent aux gémonies l’agriculture industrielle et intensive continuent à vouloir ensauvager des zones où la production est au contraire en phase avec le milieu.

L’Article 23 de la Convention permet à la France de sortir de cette insoluble contradiction. Il suffit de le vouloir, mais le vouloir vraiment …

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