http://www.20minutes.fr/sciences/875944-mouton-animal-domestique-millenaire-peut-satisfaire-besoins-humanite-grandissante
""Cette très grande variété génétique signifie que les éleveurs de moutons peuvent continuer à s'attendre à obtenir d'importantes améliorations des traits de production de ces animaux qui pourraient contribuer à nourrir la population croissante du globe en quête de plus en plus de protéines animales", estime ce scientifique australien"
Avec des animaux capable de s'adapter a de nombreux climats et de valoriser des terrains "pauves" difficilements mécanisables, et arides cela est une solution a ne pas ignaurer pour nourrir les populations
le mouton nourrit les populations.. le loup ne nourrit que associations et les bénévoles ecolos...
RépondreSupprimerL'agneau français, c'est moins de 2 % de la viande consommée par nos compatriotes.
RépondreSupprimerLa production d'agneau dans les Alpes, c'est environ 10-15 % de la production française.
ça fait donc 0,2 % de l'approvisionnement en viande du pays.
Heureusement que la population française a autre chose pour se fournir en viande pour les 99,8 % restant (bovins, porcins, volailles)...
Tout à fait c'est à l'image du reste, fringues, autos, electronique, heureusement que la population francaise à de quoi importer tout ça, mais pourvu que ça dure tant que les ressources le permettent et que nous en avons les moyens .....
RépondreSupprimerL'étude prouve que au niveau mondial il y a une marge de progression pour nourrir la population croissante sans nuire a l'environnement...
RépondreSupprimerrien a voir avec le pourcentage vrai ou faut d'importation de l'agneau en france...
Il ne vous aura pas échappé que l'auteur de l'étude est un australien.
RépondreSupprimerOr, bien que l'Australie soit encore le 2ème éleveur de moutons de la planète, l'élevage ovin y est en forte régression :
120 millions d'ovins en 2000
100 millions d'ovins en 2004
90 millions d'ovins en 2006
80 millions d'ovins en 2008
70 millions d'ovins en 2010
- 40 % en 10 ans, c'est presque pire que chez nous.
C'est dire si cette étude est bienvenue.
La référence aux terres arides n'est pas anodine : l'Australie n'est pas réputée pour ces forêts impénétrables...
On notera aussi la grande prudence utilisée :
"pourraient contribuer à nourrir la population croissante du globe"
"pourraient", conditionnel : peut être, peut être pas, qui sait, si ça se trouve...
"contribuer" : dans quelle proportion ?
1 %, 10 %, 30 % ? Mystère.
Et c'est normal : nourrir ceux qui crèvent de faim n'est pas le but recherché.
Le but recherché, c'est produire du mouton en Australie, nuance.
Je ne sais pas si cette étude relancera la production de mouton en Australie, mais ça m'étonnerai qu'elle vous aide à éliminer le loup...