Pour que l'action de cette fédération continue penser a adhérer

Liste des pages

Page 1) accueil

Page 2) Communiqué de presse et publication

Page 3) Photo de prédation

Page 4) Attaques de loups sur l'homme

Page 5) Combien d'animaux cruellement massacrés par les loups en France?


assemblée générale de la FAR

Pour une campagne et une montagne vivantes et dynamiques sans loup

AG





vendredi 31 août 2012

Le loup se joue de tout

http://www.laprovence.com/article/digne-les-bains/le-loup-se-joue-de-tout

"éleveur et président du groupement pastoral local dont le troupeau a été ciblé par 4 loups, se fait le relais du berger, véritablement estomaqué par le comportement de l'un des prédateurs. "Il a d'abord cru voir des sangliers puis, rapidement, il a bien vu que c'était des loups. L'un d'eux est venu vers lui, s'approchant à 50 m à peine. Le berger a crié en direction de l'animal, à l'apparence maigre, qui a stoppé sa course avant de lui lancer à son tour un coup de gueule. ""



Le loup ne se joue pas de tout, avant de réaliser que ce jeux de mots pouvait faire référence a la station de ski du Dévoluy ou il n'est pas exclus de croiser des loups sur les pistes...

Mais ces loups n'ont aucune raison d'avoir peur de l'homme, depuis 20 ans qu'ils ont été réintroduits en France, personnes ne les pourchasses, a aucun moment l'homme n'a représenté un danger pour eux..
Pour quel motif voudriez vous que la présence du berger ne les déranges dans leurs recherches de nourriture?

Donner carte blanche aux bergers, aux éleveurs, aux chasseurs... pour rétablir la sécurité dans les alpages ils feront ce qu'il faut pour que ce comportement change.


Il semblerai que la gestion actuel de ce problème par l'état soit dans la plus total illégalité:
-non seulement il n'assure pas la sécurité des biens mais a force d'habitué les loups a ce que l'homme ne soit pas dangereux pour les loups...
-les loups vont devenir de plus en plus proche des hommes et finir par être dangereux pour l'homme.

Les ministres, les préfets, les élus doivent prendre leurs responsabilités pour assurer la sécurité des biens et des personnes
 

Brebis égorgées : une mystérieuse "bête grise" recherchée près de Cholet

http://tempsreel.nouvelobs.com/societe/20120831.AFP7326/brebis-egorgees-une-mysterieuse-bete-grise-recherchee-pres-de-cholet.html
"
La sous-préfecture de Cholet (Maine-et-Loire) a annoncé vendredi des mesures pour capturer un animal "de couleur grise et haut sur pattes", tenu responsable d'une vingtaine d'attaques de troupeaux de brebis, tout en excluant à ce stade qu'il s'agisse d'un loup.
Depuis avril, 90 bêtes issues d'une dizaine d'élevages ont été tuées ou ont dû être euthanasiées à la suite de ces attaques, commises systématiquement de nuit dans cinq villages des Mauges, a rappelé le sous-préfet, Jean-Marie Nicolas
"



La sous-préfecture de Cholet applique les consignes du rapport guth braque  ne pas dire qu'il s'agit de loups et rendre le terrain hostile pour que les loups ne s'installent pas!

Les préfectures des zones a loups devraient s'inspirer de ce procédé qui permet au moins de faire croire que l'état va agir pour assurer la sécurité des biens et des personnes...

Nous attendrons le résultat pour savoir si cela sera plus efficace que dans la lozère ou l'ardèche...
Département ou face a l'ampleur des dégâts la présence de ces prédateurs sanguinaires et affamés a fini par être reconnu officiellement...

Ce procédé pose un autre problème, celui de l'égalité entre les citoyens, principe inscrit dans la constitution française...

Nous réclamons donc que toutes les préfectures s'inspirent de celle du maine et loire et agissent rapidement pour faire baisser les prédations comme cela est prévu par la loi: article 2212-2

"7° Le soin d'obvier ou de remédier aux événements fâcheux qui pourraient être occasionnés par la divagation des animaux malfaisants ou féroces ; "
 

Un ours dans un collet!

http://www.lne.es/asturias/2012/08/28/seprona-inicia-busqueda-exhaustiva-furtivo-atrapo-oso-porley/1290076.html

En suivant le lien ci dessus vous découvrirez que tous va bien en espagne:
Un ours pris dans un collet est mort des suites de sont sauvetage...

la suite si dessous est romancé:
"
Découvert encore vivant mais dans une mauvaise posture...
Le sauvetage s'organise...
Mais il faut beaucoup de temps pour rejoindre l'animal...
Puis il faut rendre l'animal inoffensif: dent et griffe sont de véritables armes contre ces sauveteurs...
Enfin la dose d'anesthésiant et trop forte ce qui la transforme en poison mortel...
La personne qui avait posé ce collet n'a pas réussi a tuer cet ours...
Les sauveteurs sont devenu des braconnier en réussissant a le tuer "

Mais si tous va bien pourquoi y avait il un collet?

jeudi 30 août 2012

Loup: un tir de prélèvement autorisé dans les Monges

http://www.ledauphine.com/hautes-alpes/2012/08/29/un-tir-de-prelevement-autorise-dans-les-monges
"Face à la situation spécifique des Monges où les attaques de loup se multiplient, le préfet des Alpes-de-Haute-Provence a décidé, hier, par arrêté préfectoral, la mise en œuvre d’un tir de prélèvement."



La situation n'a rien de spécifique!
Elle remplit des critères...
Mais ces critères au vu des 30 attaques et 157 victimes semble réuni depuis plusieurs jours...
Donc la vrai question c'est pourquoi la préfecture a autant tarder avant de prendre cette décision?
Pourquoi la préfecture présente cette décision comme lié a une situation spécifique? Alors que en France le principe d'égalité s'applique, donc dès que ceux ci sont atteint la décision doit être prise sans délai.

Mais la préfecture oublie de dire que malgré cette décision, cela ne suffira pas pour remplir les obligations régaliennes dont: l'obligation d'assurer la sécurité des biens et des personnes... ni de respecter les lois comme les articles L113.1, L2212.2...

Quel moyens la préfecture va-t-elle mettre en place pour revenir dans la légalité?

L'oncfs hurle, les loups attaquent!

Nous apprenons par radio alpage que les loups ont encore sévit:

Mais cette fois dans des conditions particulières,en effet les agents de l'oncfs ont participer a cette attaque en attirant les loups.
Les alpages de la station de font d'urle ont été plus calme cette été que les années précédentes, un seul incident lié aux prédateurs sur l'autre versant de la station, en juin deux veaux tués par des loups!

Or dans la nuit du 28 au 29 août alors que tous semblait calme comme le reste de l'été les agents de l'oncfs sont venu semer la terreur sur les alpages, pour la troisième fois cette année ils ont fait "des hurlements provoqués" ou selon nos informations ils n'auraient recueilli aucun indices...

Mais pour les bergers du secteurs le bilan et beaucoup plus agité car il ont subit la première attaque de l'année! le résultat de l'activité de l'oncfs: une brebis a été tué partiellement dévorée, avec une épaule emportée les indices de présence sont donc bien là, l'action de l'oncfs, a part justifier des dépenses de denier publique n'a servit a rien, si ce n'est agiter des loups qui sont revenu de nul part pour apporter la mort et la désolation


L'oncfs représentant de l'administration semble déjà largement dans l'illégalité en n'assurant pas les fonctions régaliennes de l'état comme assurer la sécurité des biens et des personnes, en ne respectant pas les lois comme les articles L113-1, L2212-2...

Pourquoi doit elle réaliser en plus des actions pour inciter les loups a faire plus de dégâts?
Le système de comptage sur la neige semble totalement dépacé, celui avec ces hurlements et la risée des touristes qui se demande ce que cette bande qui vient faire ici ? est ce un bizutage, une soirée bien arrosée,...
La crédibilité de cette administration s'en trouve dégradé a chaque intervention, Mais nous ne comprenons pas pourquoi les agents continuent a faire ce genre d'action?
Est-ce l'impossibilité de se remettre en cause?
Est-ce pour justifier des moyens mis en ouvre?
Est-ce pour protéger les loups? en en minimisant volontairement le nombre!
Est-ce par idéologie?
Est-ce pour faire une sortie sympa entre collègue?
...

Loup de la plaine : la preuve par l’image

http://www.republicain-lorrain.fr/actualite/2012/08/28/loup-de-la-plaine-la-preuve-par-l-image

"du loup qui terrorise depuis le 6 avril dernier les troupeaux d’ovins de la plaine des Vosges, aux alentours de Grand. Le tableau de chasse de ce « serial croqueur » fait froid dans le dos. En date du 25 août dernier, soit près de cinq mois après la première prédation, on lui attribuait la bagatelle de 41 attaques pour 81 victimes. La dernière a eu lieu ce week-end à Midrevaux.
Jalousement gardées par la préfecture des Vosges, qui ne souhaitait pas les divulguer "


Pour quelles raisons la préfecture entretien le secret?
-Elle se maintient dans l'illégalité, mais parle d'un autre sujet...
-oublie les fonctions régaliennes dont l'obligation d'assurer la sécurité des biens et des personnes
-oublie la loi sur le droit a l'image
-a t-elle respecter toutes les règles pour ces prises de vues?
-au vue du grand nombre d'attaques et de bêtes tuées le protocoles loups a t-il été mis en place? ou bien la préfecture rallenti t-elle les possibilitées de prélèvements de loups?




"La première a été prise le 27 mai, dans les bois de Midrevaux, à 4h48. Les deux autres datent du même jour, le 10 juin. Mais à trois heures de différence et à une dizaine de kilomètres de distance. L‘une toujours à Midrevaux, à 3h29. La seconde au lever du jour, à 6h46, à Avranville. Une quatrième, prise début juillet, est en expertise. Le loup y est cette fois photographié avec un bout de viande ovine entre les crocs !"


Avec autant d'information pourquoi la préfecture, les maires, les ministres... auraient largement pu se rappocher de la légalité en fesant sésser ce carnage!
Mais au lieu de cela ils ont fait le choix de protéger ces loups, qui se sont très certainement reproduit car autrement pas besoin de transporter de la nourriture...

Quatre loups attaquent sous les yeux du berger

http://www.ledauphine.com/hautes-alpes/2012/08/28/quatre-loups-attaquent-sous-les-yeux-du-berger
"
Il était aux alentours de 18 heures samedi 25 août lorsque le berger,  a vu quatre loups se diriger vers le troupeau. L’un des loups n’était pas sauvage, il s’est approché à moins de 50 mètres du berger. Malgré l’intervention du berger le troupeau s’est coupé en deux. Quatre brebis ont été retrouvées mortes et deux sont restées introuvables.
Le berger, qui a 25 ans d’expérience et a malheureusement déjà connu des attaques de loups, était très choqué car c’est la première fois qu’un loup peu farouche s’est approché aussi près. L’inquiétude, l’angoisse sont présentes en permanence chez les éleveurs."




Quel moyens a part les tirs létaux reste-t-il aux éleveurs pour protéger leurs troupeaux?

L'état doit assurer la sécurité des biens et des personnes quand vat-il prendre ces responsabilités?
 

mercredi 29 août 2012

Communiqué du 27 août de Karine Berger sur l’autorisation de tir de prélèvement

http://karineberger.org/2012/08/27/139/
"
Karine BERGER, Députée des Hautes-Alpes, se félicite de la décision prise par la préfecture suite à son intervention d’autoriser un tir de prélèvement dans le Dévoluy.
En marge des Universités d’été du PS à La Rochelle ce week-end, elle a rencontré avec Christophe Castaner, Député des Alpes de Haute Provence, Delphine Batho, Ministre de l’écologie afin que le ministère de l’écologie infléchisse sa position concernant le loup et les ravages qu’il cause dans les troupeaux en estive. L’entretien a été très constructif."




C'est sûrement très bien ce tir de prélèvement, mais depuis combien de temps les critères étaient remplis pour cela? ce tir bien qu'en application arrive volontairement le plus tard possible et tout le monde s'en approprie la paternité alors que cela est juste normal

Mais le vrai problème c'est pas l'application au coup par coup d'un protocole qui devrait être automatique... mais le retour de l'état dans la légalité: il doit assurer ses fonctions régaliennes dont : assurer la sécurité des biens et des personnes, ces propres lois L113.1, L2212.2...

Alors le changement c'est pour maintenant ou c'est juste un effet d'annonce...

http://www.laprovence.com/actu/region-en-direct/autorisation-prefectorale-de-tirer-un-loup-dans-le-devoluy

Incroyable! Le Corrierone avec les éleveurs de roquefort

http://www.ruralpini.it/Commenti28.08.12-Corrierone-e-lupi.htm

"L'articolo apparso ieri sul Corrierone è quasi storico: il lupo presentato per la prima volta dai media come un serio problema che minaccia la pastorizia e i migliori prodotti caseari. Non poteva non essere accompagnato da una gragnuola di commenti adirati dei lettori politicamente corretti: i pecoroni pro-lupo, farciti dei soliti luoghi comuni di un animal-ambientalismo dagli argomenti sempre più logori"


Un article historique pour les éleveurs italien:

Le grand journal italien "Corriere della Sera" (familièrement Corrierone) découvre que les loups sont un problème ... en Lozère.
Aussi longtemps que les loups ont été un problème en Italie ou dans les régions françaises frontalière la grande presse italienne a ignoré le côté négatif du loup. Ils ont dû aller dans le centre de la France, pour écouter le député européen vert (!?) Bové qui était un éleveur de moutons et de soulever des craintes sur la production du Roquefort gourmand peuvent courrir un grand risque a cause de la présence des loups...

mardi 28 août 2012

Prélèvement de loup autorisé

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/08/27/97001-20120827FILWWW00456-prelevement-de-loup-autorise.php
"Le préfet des Hautes-Alpes a ordonné par arrêté un tir de prélèvement d'un loup, espèce protégée, afin d'assurer la "protection des troupeaux domestiques" de trois communes sur lesquelles ont été recensées 18 attaques depuis plus d'un an, a indiqué aujourd'hui la préfecture.
"

Le prèfet ne fairait que le minimum syndical, avec l'application d'un protocole, a minima...

Mais cela ne dispense pas des responsabilités trop longtemps laisser a l'écart:
Comme les fonctions régaliènnes, dont l'obligation d'assurer la sécurité des biens et des personnes, les lois, comme l'article L113.1, ou L 2212-2


 

Loup : un vrai problème ; convention de Berne : ce n’est pas le problème

Veuillez trouver ci dessous un énième rappel au vrai enjeu de la convention de berne sous la forme réaction un peut vive face au temps perdu en palabre a ce sujet alors que cela serait si simple de régler définitivement ce problème...

A moins que les politiques continuent a vouloir botter en touche...




Une fois de plus en ce mois d’août le Convention de Berne est sur la sellette à propos des attaques de loups dans l’arc alpin, de l’extension de l’animal à des départements jusqu’à présent « officiellement » préservés. Gauche ou droite, successivement ou en chœur, plusieurs élus nationaux du massif ont appelé dans le passé, appellent aujourd’hui à sa « révision » et à celle de la classification du loup comme espèce menacée.
Le jugement du Conseil d’Etat dans son ordonnance du 6 mai 2006 (N° 292398) à propos des réintroductions d’ours dans les Pyrénées a fixé la portée générale de cette Convention, elle s’applique au loup comme à l’ours :
 
1) - « les stipulations de la convention de Berne relative à la conservation de la vie sauvage et du milieu naturel créent seulement des obligations entre les Etats parties sans produire d’effets directs dans l’ordre juridique interne » (page 10, §1)
2) - « l’ursus arctos figure /…/ au nombre des espèces mentionnées à l’annexe II de la convention de Berne vis-à-vis desquelles l’Etat s’est engagé sur le plan international à assurer la « conservation particulière » (idem, §5)
 
Il faut alors s’interroger sur la nature et le puissance de ces « obligations entre les Etats parties » et de l’importance de ce à quoi « l’Etat s’est engagé ». En fait la Convention est si peu contraignante, si peu coercitive, à la différence de la directive Habitat qui est, elle, le vrai problème, que son article 23 prévoit que tout signataire peut quand il le souhaite se délier de cette Convention sans qu’aucune des autres parties, ni quelque instance supérieure que ce soit ne puisse s’opposer à ce retrait en bonne et due forme :
 
« Article 23
Toute Partie contractante peut, à tout moment, dénoncer la présente Convention en adressant une notification au Secrétaire Général du Conseil de l'Europe.
La dénonciation prendra effet le premier jour du mois qui suit l'expiration d'une période de six mois après la date de réception de la notification par le Secrétaire Général. »
 
Le problème alors n’est du tout de demander « au gouvernement d’entreprendre immédiatement la renégociation de la convention de Berne », en présentant cela comme une bataille très difficile face à un adversaire, la Convention elle même, sa structure, son Bureau… en fait inexistant ! C’est la Convention elle même qui fournit non pas l’arme, il n’y pas de combat, mais le moyen légal de s’en exonérer !
 
Si donc, droite ou gauche je le répète parce que tous s’arque boutent sur la Convention en « oubliant » Habitats,  mais c’est plus complexe et plus compliqué, si, effectivement, ces élus veulent régler le problème de Berne, c’est facile, je leur fournis même le courrier ci dessous, très bref. Cela règlera le problème de Berne, pas du tout celui du loup, mais une fois Berne à la trappe peut-être décideront-ils enfin de s’occuper du vrai problème : la directive Habitats, et là il y aura vraiment du travail parce qu’on abordera alors le fond et pas les apparences : la biodiversité dans son ensemble, comme une dynamique où l’homme à sa place et pas simplement un catalogue de quelques espèces végétales et animales. Un vrai défi d’avenir celui-là.
 
-----------------------------------
 
Courrier (au Secrétaire Général du Conseil de l’Europe)
 
M. le Secrétaire Général,
 
comme l’article 23 de la Convention de Berne lui en offre la possibilité, la France se retire de la Convention de Berne, la dénonciation de cette Convention par notre pays « prendra effet le premier jour du mois qui suit l'expiration d'une période de six mois après la date de réception de la notification par le Secrétaire Général. », comme le stipule l’alinéa 2 de l’article 23 ;
 
en vous assurant de … etc …
 
-----------------------------------
"



lundi 27 août 2012

Le préfet va faire des propositions sur le loup

http://www.laprovence.com/actu/region-en-direct/le-prefet-va-faire-des-propositions-sur-le-loup


"Nous devons être dans la perspective car la logique actuelle de défense des troupeaux est battue en brèche par les limites du prélèvement", affirme le préfet. "La régulation et l’idée d’un plafond de prélèvement sont illogiques vis-à-vis du loup comme de l’éleveur", pense M. Papaud qui lors des réunions prévues à l’automne proposera une autre procédure : celle d’une adaptation aux besoins des deux espèces : homme et loup. Osé ? À voir ! Dans l’esprit du préfet lorsque les conditions de protection sont remplies mais que la pression du prédateur se maintient, il n’est pas inconcevable de passer directement au tir de prélèvement : "La protection maximale du troupeau associée à la présence d’un danger létal pour lui sont deux données que le loup est parfaitement capable d’intégrer", estime Michel Papaud. Le préfet entend donc obtenir la sortie de l’inutile et inefficace quota de prélèvement et la renégociation du plan de gestion du loup par une défense jusqu’au-boutiste du troupeau. Et d’assurer : "On verra alors que l’on n’a pas besoin d’autant de tirs que ça."



Monsieur le préfet, nous vous disons qu'il faut essayer rapidement que cela vous permettra peut être assurer une de vos fonctions régaliennes, "assurer la sécurité des biens et des personnes" ce qui vous permettrai de revenir dans la légalité sur ce point là.
Vous pouvez vous inspirez du "concept loup suisse" a chaque fois que 25 animaux de rente sont tués en un mois ou 35 en 3 mois un tir de prélèvement est mis en place pour 2 mois renouvelables jusqu'à réalisation ou cessation des attaques...
Vu le bilan suisse de prédation a ce jour, 40 fois moins qu'en france cela devrait rapidement être mis en place en france...

Quand au quota français! monsieur le préfet, a ce jour un seul tir a été réalisé sur 11 possibles!
Faites en 10 dans les alpes de haute provence d'ici la fin du mois... nous vous soutiendrons pour obtenir une rallonge de ce quota
 

Au moins deux meutes en Savoie, où le loup est installé depuis 1997

http://www.ledauphine.com/savoie/2012/08/26/au-moins-deux-meutes-en-savoie-ou-le-loup-est-installe-depuis-1997
"Plus discret, mais toujours là. Le loup n’a pas quitté la Savoie depuis son arrivée en 1997, quand les premières attaques de troupeaux lui étaient officiellement attribuées en 1997. Depuis, le réseau chargé de surveiller l’évolution de l’espèce ne cesse de traquer les indices de présence : crottes, poils, hurlements, traces laissées dans la neige… Autant de preuves indiscutables de son installation permanente ou de ses incursions depuis les massifs à cheval sur deux départements."


Quand ont lit la communication proposée par l'administration aux médias il y a toujours les mêmes arguments qui s'opposent:

Il serait revenu a pied d'italie
Mais ne pourrait pas faire le trajet bramans, valloir?
Mais ne pourrait pas faire le trajet belledonne, bauges?

Un loup a été repéré
Mais il faut attendre les analyses pour savoir de quoi sont mortes les brebis!

Il n'y a pas de trace dans la neige? dans les bouches du rhone ou les landes il y en aura probablement jamais...


Une communication très orienté pour disculper les loups et reporter la responsabilité de leur gestion et des dégâts sur d'autres.
Cela ne disculpera pas l'état, les ministres, les préfets, les élus de leurs responsabilités

vendredi 24 août 2012

UICN, liste rouge 2012 des espèces menacées en France : vérité ET manipulation

https://workspaces.acrobat.com/?d=RcbNKUWNIjiMOGl392CSfg

Le titre du communiqué de presse de l’UICN, qui place la France au 5° rang mondial pour les « espèces menacées », est très ambiguë. Il ne s’agit pas en effet des espèces en général, ni de toutes celles plus ou moins présentes en France, mais comme il est dit ensuite dans le texte : des « espèces animales et végétales menacées au niveau mondial. »

Et cela change tout, en effet ne sont pas concernées les espèces qui, même présentes sur le sol national, ne sont pas par ailleurs menacées de disparition. La manipulation consiste à « oublier » cette dimension mondiale pour glisser en généralisant à toutes les espèces présentes en France quel que soit leur statut mondial.

 

Cette manipulation est très précisément à l’œuvre dans le liste rouge France à laquelle renvoie le lien à la fin du communiqué : http://www.uicn.fr/Liste-rouge-France.html. Si l’on clique ensuite sur  Liste rouge des mammifères de métropole (février 2009), puis sur Publication : UICN France, MNHN, SFEPM & ONCFS (2009) on trouve page 8 l’ours brun en rouge dans la liste nationale (Catégorie CR- danger critique). Mais, dans la colonne « Catégorie Liste rouge mondiale », il est classé LC (Least Concern), c’est à dire dans la catégorie des espèces absolument pas menacées, voir ci dessous les degrés de cette liste (flèches vertes). De même le loup est- il classé jaune (VU-vulnérable) alors qu’il est LC au niveau mondial :
 
(Diagramme a consulter sur le fichier joint)
 
 
La liste rouge France n’a rien à voir avec la réalité que mesure l’UICN, et lorsque son Comité français écrit : « Etablie conformément aux critères internationaux de l’UICN, la Liste rouge vise à dresser un bilan objectif du degré de menace pesant sur les espèces à l’échelle du territoire national », c’est à la fois inexact et différent de cette mesure.

 

Différent parce que toutes les espèces présentes sont prises en compte et non pas celles « menacées au niveau mondial », pour reprendre les termes du communiqué de presse qui dit là très précisément l’inverse de ce que fait en réalité le Comité français de l’UICN.

 

Inexact parce que les critères ne sont pas tous respectés. En effet le Guide UICN servant de base pour l’établissement des listes rouges nationales demande, page 18, que soit indiquée pour chaque espèce « la proportion (%) de la population mondiale présente dans la région. » Ce qui n’est pas fait et on comprend pourquoi : pour la seule Europe, la population d’ours présente dans les Pyrénées c’est au mieux 0,14% de la population, si l’on ajoute la Russie 0,014%, et au niveau mondial, celui où l’UICN demande de raisonner c’est … inexistant : 0,000…. etc.

De tels % ne représentent strictement rien au point que le Guide envisage même, page 11, que ne soient pas prises en compte « une espèce présente dans la région ou qui a été présente dans la région au siècle précédent et dont l’effectif représente moins de 1% des effectifs de la population mondiale. » L’ours est très en dessous de ce 1% !

 

En confondant tous les niveaux, à l’encontre même de ce que demande l’UICN, c’est à une supercherie et une manipulation verbale totalement inacceptables que se livre le Comité français. Contre productives aussi : car c’est bien les espèces mondialement menacées qui sur notre territoire devraient être l’objet de tous les efforts et non celles qui ne le sont pas du tout.

 

B.Besche-Commenge - ASPAP/ADDIP

Vaucluse : les éleveurs peuvent tirer sur le loup juste pour l'effrayer

http://www.laprovence.com/article/avignon/vaucluse-loup-les-eleveurs-peuvent-tirer-juste-pour-leffrayer
"Et, comme tout ce qui touche à l'animal, la tension entourant cette rencontre était palpable. Dans un contexte de transition à la tête de l'institution - un nouveau préfet arrive lundi - les agnelets fébriles de la préfecture avaient interdit l'accès des journalistes au bâtiment, qui devaient donc rester sur le trottoir."


Cette réunion a surtout permis a la préfecture de gagner du temps,
- Ces mesures faisant parti d'un plan national elles devraient s'appliquer systématiquement dès que les critères sont requis. Sans avoir besoin d'une intervention des syndicats et des éleveurs. ( Pour votre permis de conduire,pour mettre des radars la préfecture n'a pas eu besoins de demande des automobilistes! alors 2 poids 2 mesures)
-Ces mesures ne font que reporter le travail de protection de la préfecture sur les éleveurs!
-Ces mesures ne déchargent en rien la préfecture de ces responsabilités, la préfecture doit toujours assurer la sécurité des biens et des personnes, mais aussi les lois comme, L113.1, L2212.2




" certains n'hésitent cependant plus : à Bédoin en janvier, le corps d'un loup a été retrouvé tué d'une balle. "

C'est bizarre que ce cadavre digne des plus grand scénario du contre espionnage comme les vrai faux époux turange  ressorte encore...

Le loup, danger ou bouc émissaire ?

http://www.lepoint.fr/societe/le-loup-danger-ou-bouc-emissaire-23-08-2012-1498599_23.php

"
Pour les éleveurs on tourne en rond. Pour l'État, le dossier est sensible. Le nom du site consacré par le ministère de l'Écologie à la question résume assez bien le problème : "Le loup en France dans le contexte français d'une activité importante et traditionnelle d'élevage." Car il serait vain de croire que les brebis et ceux qui en vivent puissent cohabiter dans la joie et l'harmonie avec le grand prédateur.
Click here to find out more!"



A part quelques errueurs sur les chiffres, le nombre de tirs c'est seux autorisés et pas la réalité du terrains, le taux d'accroissement de l'espèce, l'oncfs annonçais 30 % l'année passé en préfecture de valence...

Cet article resume assez bien l'integrisme des écologistes et la problèmatique sur le terrain...

Où voir des loups ?

http://www.lanouvellerepublique.fr/Indre-et-Loire/Actualite/Environnement/n/Contenus/Articles/2012/08/23/Ou-voir-des-loups

"Dans la nature. Dans le parc du Gevaudan (Lozère) ou dans le parc du Mercantour (Alpes-de-Haute-Provence et Alpes-Maritimes)."



Encore un site qui n'est pas a un mensonge près, assurer que l'on peut voir des loups dans la nature c'est de la fumisterie, du mensonge...
le parc du gévaudan est un parc animalier juste avec un peu plus d'espace que les autres...

Le parc national du Mercantour est un des neuf parcs nationaux de France. Il est situé sur les départements des Alpes-Maritimes et des Alpes-de-Haute-Provence (France).
Rien a voir avec un parc animalier ou l'on observe a volonté des animaux sauvages, encore moins des loups qui sont très furtifs et avec d'excellentes capacités athlétiques se tiendront juste hors de porté de vue...

Une page a modifier rapidement car mensongère...
 

jeudi 23 août 2012

2 Parc National du Mercantour : qui agresse qui et pourquoi ?

suite a ce précédent article: http://federationdesacteursruraux.blogspot.fr/2012/08/parc-national-du-mercantour-qui-agresse.html

Nous nous sommes renseigné et il semble que la version de l'aspas soit très loin de la réalité!
"
L'éleveur dont le troupeau avait subit une attaque a fait appel comme il se doit au garde du parc pour faire le constat de prédation.

A la surprise de l'éleveur le garde du parc serait arrivé accompagné de deux vacataires dont les missions sont l'entretien des chemins a l'intérieur du parc (Les deux vacataires n'avaient donc rien a faire sur cet alpage).

Alors que tous se petit monde se trouvait a la cabane, le garde du parc aurait refusé d'aller voir les cadavres pour réaliser le constat, en argumentant qu'il faisait confiance a l'éleveur...
Face a l'insistance de l'éleveur pour un des deux stagiaires lui aurait dit:" ont en a rien a foutre de tes bêtes, nous, on est pour les loups"

L'éleveur agressé dans sont domicile a congédié sur le champ tous le monde, le stagiaire continuant ces agressions verbales, a sans doute obtenu ce qu'il cherchait sur le pas de la porte l'éleveur aurait perdu sont sang froid
"



A l'éclairage de cette déclaration nous comprenons mieux pourquoi le parc et les" agents" en cause ne se sont pas manifester plus tôt:
-Ces personnes n'avaient rien a faire là
-Le constat aurai du être fait dans les formes avec constatation des liaisons sur les cadavres
-Ils auraient du rester silencieux, n'émettre aucun avis sur le principe du devoir de réserve
-Si l'un dérape, les autres auraient du d'eux mêmes lui demander de se taire, s'excuser et quitter les lieux.
-Le parc en lui même a t-il formé ces agents comme il se doit?
-Le parc en lui même a t-il donné des consignes de façon assez claire sur les conditions des constats?
-Le parc en lui même a t-il donné des consignes de façon assez claire sur les possibilités pour une personne extérieur d'accompagner l'agent constatateur et le comportement de l'accompagnant?


Ne souhaitant en aucun cas que se genre d'évènement se reproduisent il faut absolument en tirer les conclusion qui s'imposent:
-Un choix pertinent des personnes présentent sur les lieux lors des constats, avec si besoin une formation psychologique.
-Un meilleur encadrement des éventuels accompagnant si la loi le prévois, avec un briefing sur le comportement a avoir.





 

1 Parc National du Mercantour : qui agresse qui et pourquoi ?

http://www.pyrenees-pireneus.com/Faune/Loups/France/Alpes/Opposition-Manifestations-Colere/Parc-National-Mercantour-Agressions/2012-08-00-PN-Mercantour-Qui-Agresse-qui-et-Pourquoi.html

"Dans cette affaire, nous n’avons pas la version de l’éleveur. Mais pour en arriver à une telle situation, il y a fort à parier qu’il devait avoir de bonnes raisons motivées par l’exaspération engendrée par un comportement. Nous pouvons faire une première observation : c’est l’ASPAS qui a lancé l’affaire publique. Pourquoi l’ASPAS, organisation des plus sectaires et haineuse à l’égard des éleveurs ? Il faudra approfondir l’interrogation.

Selon les premières informations que nous avons pu recueillir, un garde aurait déclaré à l'éleveur x fois attaqué : " Ici on n'a pas besoin de l'élevage". D'où sa fureur légitime !
Il y a quelques années, une situation similaire s’était installée entre certains gardes du Parc National des Pyrénées et les éleveurs de plusieurs vallées. Motif : le comportement des gardes à l’égard des éleveurs. "


En bas de la page en lien vous trouverez les articles de presse sur le sujet....




Pourquoi en arriver là!
Car le climat instauré par les intégristes de l'environnement pousse les éleveurs a bout, les miliciens qui se font passer pour des touristes ou des randonneurs, violent les propriétés, se mettent en danger mais aussi les troupeaux et les autres acteurs de l'environnement...
Cette tension ne peut que monter encore d'un cran a chaque attaque de loup.


Mais le comportement de certains agents constatateurs a toujours été pour les éleveurs une agression, a tel point que certains éleveurs peuvent dès qu'ils savent le nom du simple technicien qui fera le constat de l'attaque subit par leurs animaux dire si: il sera classé loup non exclus ou rejeter

Mais ces agents constatateurs vont parfois beaucoup plus loin: http://federationdesacteursruraux.blogspot.fr/2011/11/encore-une-attaquemais-un-comportement.html
Un comportement qui mérite une sanction, car on ne peut pas raller contre l'explosion lorsque l'on a ouvert le gaz!


Un détail légal semble justifier la colère contre les gardes, n'assurent ils pas la police de l'environnement a la place des communes dans les zones que le parc a spoliées a ces collectivités locales?
Mais pour rester dans la légalité ces simples agents constatateurs qui souvent oublient leurs devoir de réserve est se transforment en militants, ne doivent-ils pas appliquer les lois?


Le Code général des collectivités territoriales parmi ces nombreuses lois impose:
L.2212-2 ( alinéas 7)
"7° Le soin d'obvier ou de remédier aux événements fâcheux qui pourraient être occasionnés par la divagation des animaux malfaisants ou féroces ;"

Donc les parcs et leurs gardes de part la délégation de pouvoir reçu des communes et autres collectivités doivent agir... Pour protéger les troupeaux, des nuisances...
Ils représentent aussi l'état, il doivent donc assurer la sécurité des biens et des personnes...
Ils ne doivent pas avoir le sentiment d'être les seuls sur le territoire et s'obstiner a vouloir déporter les autres acteurs de terrains ce qui nuirait gravement a la biodiversité par un appauvrissement de celle-ci



Dans l'attente de la version de l'éleveur, nous ne pouvons que le soutenir, lui, sa famille, les autres éleveurs de ce département qui vivent sous une triple occupation loups, intégristes de l'environnement, administrations rendues partisanes par certains agents...
 

mercredi 22 août 2012

La milice semble a l'oeuvre...

http://www.ferus.fr/actualite/loup-tir-de-prelevement-autorise-dans-le-var#more-1767

"Autre anomalie, le contexte de Canjuers qui est très particulier : les patous y sont en liberté totale et commettent des dégâts très importants sur le gibier sauvage. Et pendant qu’ils courent après les chevreuils, ils ne protègent plus les troupeaux (sans compter les très probables brebis tuées par les patous eux-mêmes)… Par deux fois nous avons alerté les autorités de l’anormalité de cette situation via un courrier envoyé au ministère le 1er août et un autre au préfet du Var le 6 août :"



Il y a encore ferus recommandait les chiens de protections contre les loups...
Mais revirement de situation ce sont devenu ces chiens qui tueraient les brebis, ils sont devenu les boucs émissaires de zoolâtres qui ne savent plus comment dédouaner leurs loups réintroduits en France sur une série de mensonges:
car ces loups ne sont pas en voie de disparition, il se reproduisent très vite: accroissement de la population de 30 % par an, ils sont dangereux, ils s'en prennent au bétail, ils descendent en plaine et sont capable de faire les poubelles en villes...


Mais ces intégristes de l'environnement tout droit sortie du livre d'émanuel grenier, se prennent pour des justicier, bafouent le droit de propriété, les règles militaires, pour dénoncer les éleveurs et protéger leurs loups, c'est pour cela qu'ils ont créé des milices qui film, photographie, répertorie, dénonce...
sur leurs propres critères selon leurs propres idéologies sans aucun fondement légal

Nous nous rapprochons d'un écotérrorisme pur et dure comme dans d'autres régions: ALF par exemple

L'état doit assurer la sécurité des biens et des personnes, Il va devoir non seulement protéger les troupeaux des loups, mais aussi des écotérroristes: cela va faire beaucoup de travail pour une si petite minorité d'intégristes...

Bové chasse le loup, les Verts chassent Bové

http://m.marianne2.fr/Bove-chasse-le-loup-les-Verts-chassent-Bove_a221844.html

"Aujourd’hui, les attaques de loups se concentrent principalement dans le sud des Alpes. Malgré la promotion du chien patou– sensé protéger les troupeaux – ou des enclos électriques, les attaques se poursuivirent. Particulièrement dans le Var, depuis 2008. Dans un communiqué, la préfecture rappelle que les troupeaux ont connu 233 attaques « à responsabilité du loup non écartée » en 2011 (entraînant la mort ou la blessure de 644 animaux), ainsi que 85 attaques entre le 1er janvier 2012 et le 30 juillet 2012 (occasionnant 201 victimes constatées). Alors, pour répondre à la détresse des éleveurs, un tir de prélèvement– un seul – sera permis entre le 20 août et le 19 septembre. Seront habilités à tirer les lieutenants de louveterie ou les agents de l’Office nationale de la Chasse et de la Faune. La zone de tir sera celle « où les attaques sur troupeaux domestiques sont nombreuses et récurrentes depuis l'été 2008 ». La préfecture du Var a choisi la méthode Bové. Au grand dam des Verts."


Tous les moyens possibles pour protéger les troupeaux ont été essayé, il va bien falloir passer enfin a la seul chose qui marche: retirer le prédateur des zone de pâturage.

ATTENTION DANGER !

Le loup et les Indignés de l’Ubaye
Maison de la Vallée
4, avenue des trois frères Arnaud
04400 BARCELONNETTE
Suite à des articles très récents dans la presse nationale ou locale (Alpes de Haute Provence
et Hautes-Alpes), pour avoir eu connaissance de la convocation à la «
seconde réunion du
groupe technique évaluation du PNA loup
» et de son ordre du jour, réunion qui aura lieu le
31 août à Paris, à l’initiative des ministères de l’écologie et de l’agriculture, pour avoir lu les
propositions des JA pour le prochain plan loup 2013-2017, nous ne pouvons pas nous
empêcher de dire haut et fort au monde du pastoralisme :

ATTENTION DANGER !

Bergers et éleveurs, nous percevons que l’on va vous enfermer dans une problématique qui
n’améliorera en rien votre vie quotidienne et fera la joie des écologistes. Nous sentons que
vous y allez tout droit ! En effet :
1°) L’ordre du jour de la réunion du 31/08 à Paris est de présenter «
les premiers résultats de l’efficacité des mesures de protection des troupeaux domestiques dans le cadre du PNA loup 2008-2012» et ensuite de recueillir vos propositions
Il n’est pas besoin d’être expert pour annoncer que les ministères seront heureux de déclarer que la prédation a baissée, les chiffres arrêtés au 12 août (moins 26,60 % de victimes indemnisées) étant – pour eux - la preuve formelle que les mesures préconisées ont fait leur effet. Ils enchaineront en disant que désormais il faut continuer à encourager le monde du pastoralisme à se protéger. Et les associations écologistes d’applaudir en déclarant qu’elles avaient toujours indiqué que c’était la seule solution.
[
Une information à savoir cependant, pour ne pas oublier le département qui paye le plus lourd tribut au loup depuis 1992 : si globalement le nombre de victimes est en baisse, dans les Alpes-Maritimes ce chiffre a doublé depuis les sept mois correspondant de 2011 ! ]
Ensuite il est certain que les propositions des JA (et des autres syndicats) seront examinées avec attention, le but étant de répondre positivement à quelques aspects logiques dans la ligne de « comment mieux vous aider à protéger vos troupeaux », là on vous accordera certainement quelques broutilles !
La journée se terminera par une intervention (au Muséum d’Histoire naturelle) d’un « expert international », qui nous semble être de nationalité norvégienne, pour évaluer «Les
modalités de suivi de la population de loups en France ». Pourquoi aller chercher ce personnage ? Si vous posez cette question vous trouverez la réponse ! Pourquoi ne pas faire appel au Cerpam, à l’ONCFS. Il faudra même vérifier si ce monsieur n’est pas celui auquel fait référence Le Parc national du Mercantour pour démontrer que le loup n’est pas dangereux pour l’homme, en ignorant superbement la position de l’historien français JM Moriceau (voir bas de page 3) ! Nous pensons qu’il faut se méfier des experts internationaux, sont-ils écologistes ou experts ? Il en est de même des scientifiques partisans, type François Moutou (le copain de la buvette des alpages) qui affirme des « vérités » sans aucune preuve (dégâts dus aux chiens, par exemple).
2°) Dans le quotidien national
Libération du 14 août Voici ce que déclare Éric Marboutin, ingénieur à l’ONCFS, convié à la réunion du 31/08 : « Ce qu’on observe en Lozère, où le loup est arrivé récemment, c’est ce qu’on appelle le
primo-choc. Non pas que l’on s’habitue jamais au loup ou qu’on l’accepte, mais dans le Mercantour par exemple les réactions aux attaques sont moins virulentes et, dans les Alpes les éleveurs ont adapté leurs pratiques. Ils ont acquis des chiens de protection … ».
Tout est dit : après le « primo-choc », ils s’adaptent.
En outre, nous ne sommes pas du tout certains que dans le Mercantour les réactions aux attaques soient moins virulentes. Enfin ce « primo-choc » fait penser à la « primo-infection » qui en termes médicaux immunise l’individu, le protège de la maladie. Peut-être aussi, cet ingénieur pensait-il à la phrase du grand écologiste qui déclarait : «
La terre est un organisme vivant dont l’homme n’est rien moins qu’un virus» ?
3°) Dans les Hautes-Alpes, le préfet a rencontré les JA suite à plusieurs attaques de loups dans le Dévoluy et a déclaré à la presse : «
Je suis à votre écoute, pour moi le pastoralisme est un volet très important … Quand cela est nécessaire j’autorise des tirs de défense en conformité avec les directives. Le protocole loup sera en révision en septembre, je ferai remonter vos inquiétudes». (Le Dauphiné du 14/08).
Nous relevons que c’est en septembre qu’il y aura des discussions, c’est d’ailleurs à cette époque que Delphine Batho, ministre de l’écologie, a dit vouloir engager une réunion de
concertation. Alors, on peut se poser la question de l’intérêt de la grand messe du 31/08.
4°) Dans les Alpes de Haute Provence, la zone la plus touchée cette année est la région des Monges. Nous vous prions de lire attentivement et intégralement l’article joint ici (La Provence du 14/08).
Vous y trouverez, avec l’élevage de la famille Maurel, une préfiguration de ce qui attend tous les éleveurs : des mesures de protection efficaces, coûteuses, qui permettront de déclarer que le loup ne pose plus problème.
Nous pensons tout simplement qu’il est honteux d’en arriver là, c’est le monde à l’envers on met des centaines d’animaux domestiques en cage pour les protéger d’un animal sauvage !
Plus tard on vous subventionnera des miradors. Accepteriez-vous cette solution ?
Devant toutes ces perspectives peu réjouissantes pour le monde du pastoralisme – à notre avis -, à la lueur de notre courte expérience (puisque notre association n’a pas encore un an d’existence) mais parce que nous avons réussi quelques opérations de communication, permettez que nous puissions vous dire :
- Il doit être fini le temps où, année après année, vous présentiez vos doléances à l’administration en démontrant que le nombre d’attaques, comme celui des victimes, allait croissant, alors même qu’un nombre plus important d’éleveurs s’engageait à prendre les mesures de protection préconisées. Vous ne le pouvez plus, il y moins de victimes en 2012 qu’en 2011 !
- Il faut changer de discours et profiter du mot CHANGEMENT largement utilisé durant la dernière campagne présidentielle. Stop, depuis 10 ou 15 ans vous avez fait preuve de bonne volonté, ce fut lourd, contraignant en temps, en qualité de vie, en argent, en perte de biodiversité (regroupements nocturnes), ça ne peut plus durer.
- Vous pouvez légitimement exiger la révision de la Convention de Berne, cela ne dépend que d’une volonté politique. Depuis 2009 le loup a été retiré de la liste des espèces menacées d’extinction en France.
- Vous devez demander un entretien direct avec la nouvelle ministre de l’Écologie, Delphine Batho, et vous présenter devant elle unis et solidaires.Vous pourrez lui dire que jusqu’à présent, et depuis longtemps, ce sont les hauts fonctionnaires de son ministère qui définissaient la politique relative à la prédation, il faut un CHANGEMENT.
Vous lui expliquerez qu’au moment où certains prévoient que la moitié de la population vivra dans des villes, il vaut mieux conforter ceux qui sont attachés à leurs terres.
Vous lui direz que vous demandez une régulation efficace et indispensable – département par département, secteur par secteur -, plutôt qu’un quota, absurde et sans aucun sens, de loups à prélever au niveau national.
Vous lui démontrerez que le coût total du loup pour la France est plutôt de l’ordre de 20 millions d’euros, alors que l’administration laisse dire « 7 à 8 millions ».
Vous la mettrez en garde de ce qui peut arriver avec une pullulation des loups non maitrisée.
Vous lui expliquerez que José Bové n’a dit rien d’autre que ce que Nicolas Vanier (Un très, très grand amoureux du loup) avait déclaré en septembre 2011, et qu’heureusement il y a des écologistes lucides.

Vous lui expliquerez que de multiples études prouvent que la biodiversité est supérieure dans les montagnes pâturées, par rapport aux alpages abandonnés.
Vous lui montrerez qu’en 2004 il y a déjà eu une « rémission » dans les attaques, comparable à celle des premiers mois de 2012, mais que la prédation n’a fait que croitre.
Vous lui direz que vous êtes des travailleurs de la terre et que vous ne réclamez rien d’autre que le respect de votre travail, et la reconnaissance de son intérêt écologique et socio-économique dans les zones de montagnes.

Vous lui demanderez un CHANGEMENT DE POLITIQUE, des ÉCONOMIES pour l’État et pour vous une vie NORMALE, comme avant la réintroduction des loups.
Appuyez- vous sur les déclarations de José Bové :
http://sciencesetavenir.nouvelobs.com/natureenvironnement/
20120808.AFP5187/bove-les-eleveurs-doivent-etre-au-coeur-de-laconcertation-
sur-le-loup.html

N’abordez que ces aspects généraux, humains et écologiques.
Nous ne sommes pas à votre place, nous n’avons aucune prétention, nous voulons simplement vous donner notre sentiment. Ensuite, faut-il que vous participiez à la réunion du 31 août à Paris ? Ce n’est pas à nous de le dire, nous n’avons aucune pratique de ce type de réunions.
Le bureau de l’association
Le 17 août 2012

Lettre du directeur du Parc national du Mercantour à l’association :


……

mardi 21 août 2012

ATTAQUE DE VAUTOURS SUR LA COMMUNE DE VESC

Veuillez trouver ci dessous le communiqué de presse de l'Association Solidarité Pastorale suite a:
ATTAQUE DE VAUTOURS SUR LA COMMUNE DE VESC



Association Solidarité Pastorale

COMMUNIQUE DE PRESSE
LE 20 AOUT 2012

ATTAQUE DE VAUTOURS SUR LA COMMUNE DE VESC


Le 7 juin 2012 , un éleveur de Vesc (Drôme), M Bernard Tardieu a assisté à une curée de vautours sur son troupeau ovin. Lorsqu’il est arrivé au pâturage pour voir ses animaux, il a constaté la présence d'un très grand nombre de vautours, au sol comme en vol. Pendant que certains consommaient des cadavres, d'autres s’attaquaient à des brebis vivantes acculées dans des fourrés de buis.
Le soir même, un constat a été établi par un vétérinaire indépendant précisant qu'il y avait compatibilité entre les blessures observées et celles que peuvent infliger des rapaces.
Le 7 juillet, à partir d'un constat par des agents de l’ONCFS, les services de la DDT de la Drôme ont informé l'éleveur que cette prédation n’était pas imputable au loup. Et pour cause.
Un protocole permettant d'établir si les animaux étaient mort ou vivant, avant consommation par les vautours, existe dans les Pyrénées. Il est regrettable que celui-ci n'aie pas été utilisé à Vesc.
L’association Vautours en Baronnies a, lors d'un communiqué de presse, innocenté ses vautours. Elle s’appuie pour ce faire, sur une expertise réalisée par son vétérinaire et par quatre experts qui ont étudiés le dossier à distance , sur photos des animaux blessés et rescapés.
L’association (VEB) a préféré rejeter la responsabilité sur des chiens errants voir sur le loup, oubliant totalement le témoignage de l’éleveur, plutôt que chercher à comprendre ce qui a pu se passer, affirmant, comme c’est l’habitude, qu’il est « impossible que les vautours tuent des animaux sains… »



L’ Association Solidarité Pastorale qui suit ce dossier depuis le premier jour souhaite apporter son soutien à l’éleveur, d’autant plus que celui ci a été très affecté par le manque de considération apporté à son témoignage.

L’ Association Solidarité Pastorale regrette, qu'une fois encore la parole de l'éleveur, seul, témoin, ne soit absolument pas prise en considération.

L' Association Solidarité Pastorale regrette la position de Vautours en Baronnies qui préfère le déni plutôt qu'une analyse concertée de la situation.

L’ Association Solidarité Pastorale ne souhaite pas la disparition des Vautours dont elle reconnaît l’utilité. Elle réclame que les responsabilités de chacun soient reconnues et assumées, et que soit mis en place une gestion de la population de vautours fauves qu'elle considère aujourd'hui comme animaux d'élevages.
La régulation d’une population en trop forte croissance sur des secteur limités s’impose, d’autant plus que le sur nourrissage en quelques points précis invite les oiseaux à se sédentariser plutôt que d’aller coloniser de nouveaux territoires.



L’ Association Solidarité Pastorale a sollicité le préfet, afin que celui ci organise une réunion de travail sur le site de Vesc afin que la situation soit éclaircie. Un nombre certain de cas de prédations par les vautours fauves sont relatés partout où ceux ci sont présents. Certes ils sont rares mais néanmoins prouvés dans différentes publications.
Il est indispensable que la possible responsabilité des vautours soit acceptée par ceux qui les gèrent et que des mesures puissent être prises afin d’éviter le renouvellement de cette situation.



Le Président

Jean-Louis Fleury

dimanche 19 août 2012

La tradition sous toutes ses formes

http://www.ledauphine.com/drome/2012/08/15/la-tradition-sous-toutes-ses-formes


"Pour la 35 e Foire des bergers de Font d’Urle, l’association éponyme a concocté un programme très varié. Outre l’habituelle arrivée du troupeau de brebis de Montué le matin, la journée sera ponctuée de diverses activités."
Photos d'archives: ci dessus les éleveurs des environs interpellent les élus sur les problèmes de prédations en 2011



Comme chaque année l'association des éleveurs et bergers du vercors drome isère sera présente a proximité des troupeaux

« Nous ne voulons pas de loups dans les Picos »

http://www.elcomercio.es/v/20120726/oriente/queremos-lobos-picos-20120726.html


En tant que représentant réélu du groupe des éleveurs José Antonio Álvarez assure que la situation est pire qu’il y a 20 ans.
Le responsables des pâturages avertit que la canidé doit quitter le versant Nord du Parc des Picos de Europa.
26.07.12 - ANDREA INGUANZO andreai@elcomercio.es | CANGAS DE ONÍS.

Les éleveurs tiennent tête aux Administrations. Le régisseur des pâturages, José Antonio Álvarez García, a lancé hier un ultimatum aux responsables de la gestion du Parc. « Cette terre est un paradis naturel libre de loup » a-t-il jugé sans appel /« Asturies, paradis naturel » est le slogan touristique de la Principauté. Il a donné cet avertissement lors du traditionnel Conseil Ouvert des bergers qui a lieu chaque année au cours de la Fête du Berger, à la Vega de Enol, et au cours duquel il a été réélu à cette charge pour la huitième fois. « Ici, c’est un Parc National, mais c’est d’abord une zone d’élevage comme ça l’a toujours été parce que c’est cet héritage que nous ont légué nos ancêtres », et il a ajouté qu’il était urgent que les diverses entités concernées travaillent ensemble à l’intérieur de l’aire protégée indépendamment de leur couleur politique et de leurs compétences : « Nous allons leur accorder une marge de confiance, mais si l’on ne trouve pas rapidement une solution j’ai le soutien de tous les éleveurs, et nous nous unirons pour affronter les administrations qui se dressent devant nous. »
Au cri de « les loups, non », plusieurs éleveurs de la zone montrèrent leur soutien à ces propos. Le régisseur des pâturages a ainsi ouvert une intense polémique à propos de l’action du canidé sur le versant Nord des Picos « où nous avons toujours été libres de sa présence. » Au nom de la corporation qu’il représente García a aussi critiqué le fait que « il ne nous paraît ni logique ni normal qu’il n’y ait pas d’argent pour payer les indemnisations des veaux tués par le loup, alors qu’il y a des millions pour élever des gypaètes et entretenir les grosses voitures qui transportent les gens prétendant nous diriger. » En définitive, il a demandé « qu’ils nous donnent un coup de main, nous sommes en train de vivre une situation lamentable et nous en avons plus qu’assez des croche-pieds, des coups dans les chevilles etc. de la part des administrations et de ceux qui gèrent cet environnement dont nous faisons partie ; à l’heure actuelle c’est pire qu’il y a vingt ans, bien pire. »

Tous les représentants politiques présents à cette assemblée plénière tenue à l’air libre ont tenu à exprimer leur point de vue quant à cette polémique et tous se sont accordés pour souligner que la clef du problème est dans l’entente entre les groupes politiques et les intéressés. La Conseillère à l’Agriculture et à l’Elevage, María Jesús Álvarez, a jugé nécessaire de reconnaître le travail accompli par les éleveurs, depuis des temps immémoriaux, « pour développer une économie d’élevage qui a modelé nos paysages. » S’exprimant au nom de la Principauté, elle assure que « notre intention est de travailler coude à coude avec vous pour résoudre les problèmes. »
Ensuite elle a fait cette proposition : « Je sais que le paiement des dommages est insuffisant, mais nous voudrions que vous compreniez que c’est un premier geste. Nous sommes conscients que la solution serait d’arriver à ce qu’il n’y ait pas de dommages, et pour ça aussi je vous tends la main, dans une ambiance de concorde et de coopération, afin que tous les groupes de la Junte Générale /équivalent de l’Assemblée Nationale pour le Principauté/ se joignent à cette coopération sans aucune faille. » Il faut dire en effet que selon l’estimation du régisseur général seuls 25% des dommages réels sont payés : « ce que nous autres nous appelons "les dossiers du doute" nous porte beaucoup préjudice parce que ces dossiers sont très nombreux où, pour une raison ou une autre, les dommages ne sont pas reconnus. »

Le député Albano Longo, ancien Conseiller à l’Agriculture et à l’Elevage pour le Foro Asturias, avait tenu à être présent /Le parti est une scission locale du Parti Populaire, il se veut de centre droit. En 2011, le Foro a gagné les élections présidentielles asturiennes, mais sans majorité stable à La Junte, il a dû convoquer de nouvelles élections en mars 2012. Il a alors perdu, et des tractations complexes entre divers partis ont conduit le PS à la tête du Gouvernement. L’actuelle Conseillère à l’Agriculture et l’Elevage est socialiste. Albano Longo fait partie des élus du Foro à la Junte/. Il s’est plu à rappeler que pendant que son parti était au pouvoir, « nous avons commencé les démarches pour faire classer le loup espèce cynégétique, parce que nous croyons qu’il faut agir pour conserver les paysages mais surtout les paysans de cette zone. » L’actuelle Conseillère a jugé tout autrement l’action de ce parti : « Le travail du Foro au cours des mois précédents n’a pas démontré que c’était la solution magique pour régler le problème, il a simplement réussi à faire l’unanimité contre lui. »
/suit une liste de notables présents/

La réunion fut cette année plus que jamais suivie par la public puisqu’elle ne se tenait pas comme d’habitude dans une pièce de la maison des bergers mais sous un chapiteau dressé au centre de l’enceinte où a
lieu la fête. Avant, pendant et après l’assemblée, les éleveurs présents ne manquèrent pas de lever la voie contre l’actuelle politique de gestion du Parc et la présence des loups sur les estives.

/autre article du même jour/

L’élevage : clef pour sortir du trou noir économique http://www.elcomercio.es/v/20120726/oriente/ganaderia-clave-para-salir-20120726.html


Le chef de cabinet de la Délégation du Gouvernement dans les Asturies /représentant du Gouvernement Central dans les autonomies/, Alberto Mortera, a insisté sur la fait que « sans excès verbal, le Gouvernement espagnol sait que nous sortirons du trou noir économique actuel en nous appuyant sur des secteurs comme l’élevage et l’agriculture. » Aussi se montra-t-il optimiste à l’heure d’apporter son soutien aux éleveurs des Picos de Europa, et il déclara que « l’avenir de cette aire protégée va s’écrire de la main de l’élevage. »
Deux affirmations auxquelles firent écho les revendications de María Josefa Suero Suero et Emilio Suero Grao, primés au titre de Bergers de la Montagne de Covadonga 2012. Ce dernier revendiqua que « l’on nous écoute et nous demande conseil à nous, les bergers, c’est nous qui prenons soin et préservons ces merveilleux paysages avec nos troupeaux. »

Traduction : B.Besche-Commenge, ASPAP/ADDIP

Attaque d'un troupeau : un coup du loup ?

http://www.ledauphine.com/vaucluse/2012/08/15/attaque-d-un-troupeau-un-coup-du-loup
"Et Julien Bonnet d’ajouter : “Il y a une incompatibilité flagrante entre le pastoralisme et la présence du loup […] et l’État doit maintenant prendre des mesures radicales pour permettre aux éleveurs du plateau de Sault (plateau d' Albion) de poursuivre leurs multiples activités typiques de l’endroit.”"

Nous avons déjà donné notre avis ici

La LPO s’intéresse à un drôle d’oiseau : le loup

http://www.pyrenees-pireneus.com/Faune/Loups/France/Alpes/Opposition-Manifestations-Colere/2012-08-19-LPO-Loup-Accompagnateur-Montagne-Reserve-Partias.html

"C’est ainsi que nous découvrons dans la presse haut-alpine du briançonnais un avis publicitaire, manifestement gratuit, qui donne le ton sur l’orientation politico sectaire de cet organe de presse. Un accompagnateur en montagne, Fabien Sicard* (tel : 06 60 87 61 94 – mail : fabiensicard@yahoo.com ) propose une sortie dans la réserve des Partias au-dessus de Puy-Saint-André, sur le thème : « Le loup et l’agneau, une cohabitation impossible ? » Thème discrètement ambigu si nous faisons abstraction du point d’interrogation. Et il précise : « … Les promeneurs iront à la rencontre du pastoralisme d’aujourd’hui, découvrirons son évolution au travers des siècles, et notamment les contraintes imposées par le retour du loup dans nos montagnes »
"







Ce parasite de la montagne a t-il demander aux éleveurs, a leurs représentants, aux propriétaires... avant d'aller réaliser sont lobby lucratif?

samedi 18 août 2012

Ces bergers isérois qui résistent au temps et à l'adversité

http://www.ledauphine.com/isere-sud/2012/08/15/ces-bergers-iserois

"« Je dois aujourd’hui cohabiter avec des promeneurs, des vététistes, des aéromodélistes, des parapentistes, des cavaliers, des 4X4, des camions, des tracto-pelles, des feux d’artifice, des déchets abandonnés qui font crever les bêtes, des chiens pas tenus en laisse, le linge qui sèche sur les fils électriques… »."


Les prédateurs ne sont pas dans la liste des contraintes nouvelles?
Soit car dans les alpages concernés il y a pas eu beaucoup de passage de prédateurs...
Soit car en Isère départements ou depuis 2004 il y a eu le plus de prélèvements de loups par l'oncfs, ce qui semble avoir limiter l'impacte des prédateurs, alors que ce département avait environ 580 animaux prédatés par les loups en 2001, depuis ce chiffre est redescendu a moins de 250 et parfois même moins de 106 comme en 2008...

c'est exactement l'opposé de ce qui se passe dans les alpes maritimes ou les prélèvements de loups ont vraiment trop tardé... La responsabilité des préfets, ministres, et donc de l'état est en cause...

Les loups de la discorde

http://videos.tf1.fr/jt-we/les-loups-de-la-discorde-7460722.html
"Ils étaient une quinzaine en 1995, ils sont aujourd’hui près de 250. Ce retour en nombre des loups provoque la colère des bergers Vosgiens qui ont vu les attaques se multiplier par quatre cette année. L'Etat n'est pourtant pas près de satisfaire leur demande.
 "

Ce reportage nous apporte de nombreuses informations: la progression de l'espèce canis lupus en France de 15 en 1995 a 250 en 2012 a comparer avec les chiffres fourni l'année dernière:
1995: 4,34349 loups jusqu'à 2012: 351,905 loups
Si nous reprenons le chiffre de 15 en 1995 puis nous appliquons la progression de 29,5 % reconnu par l'oncfs... en 2012 cela plus de 1200 loups...
Le chiffre de 250 fournit a la presse semble bien minimaliste, tellement minimaliste que la vérité officielle n'est pas crédible, mais pourquoi est-elle déformée? dans quel but? au profit de qui?


L'état communique massivement sur une baisse, dans le cas présent la rédaction relève que ce n'est pas le cas de partout...
L'état par cette communication tente de minimiser ses responsabilités, en particulier son incapacité a assurer ces fonctions régaliennes, en particulier la sécurité des biens et des personnes...
Que faut-il pour que l'état réagisse enfin pour se rapprocher de la légalité?

L'état demande la patience pour laisser les loups s'installer pour que les loups se reproduisent et après il sera trop tard!
Nous ne pouvons que leur conseiller d'agir le plus vite possible...

Pourquoi l'état continu-t-il a proposer des moyens de protection qui n'ont pas fait baisser les prédations dans les alpes, patous et clôtures électriques, des moyens dit " de protection"!
Moyen qui n'ont été mis en place que pour laisser temps aux loups de se reproduire et de nuire!
Pourquoi faut-il attendre des traces dans la neige pour savoir si une meute est constitué?
L'état doit assurer la sécurité des biens et des personnes; y compris avec des moyens préventif.

l'administration ne semble pas prendre la mesure du drame, et rester distante; les tirs c'est comme le changement c'est maintenant; l'administration n'a pas a temporiser!
Si les critères sont remplis l'administration doit autoriser les tirs d'effarouchements, de défenses, de prélèvement.


Puis ce reportage nous annonces une info que nous n'avions encore pas vu dans la presse:
Une manifestation d'éleveurs a Paris a l'automne...
Affaire a suivre
Nous vous transmettrons plus d'information quand nous les aurons...


   
 

vendredi 17 août 2012

De nouvelles attaques du loup la semaine dernière

http://www.ledauphine.com/societe/2012/08/16/ardeche-de-nouvelles-attaques-du-loup-la-semaine-derniere

"« Il vient faire le pitre pendant quatre ou cinq jours, puis il disparaît… Depuis trois nuits, il ne s’est rien passé. Mais les quatre nuits précédentes, il a encore attaqué les troupeaux. Toujours dans le même secteur, à Cellier-du-Luc et à Saint-Étienne-de-Lugdarès… » Mickaël Giraud, le président du syndicat ovin de l’Ardèche, n’a aucun doute : « Le loup est là, il est là. Il faut le reconnaître… 80 brebis tuées, une cinquantaine blessées, ça commence à peser lourd ! » C’est d’ailleurs la raison pour laquelle des mesures d’urgence, directement issues du Plan Loup, ont été mises en place à l’issue d’une réunion à la préfecture de l’Ardèche le 13 août dernier, puis à Saint-Étienne-de-Lugdarès le lendemain. Un Comité Grands Prédateurs devrait aussi être installé à la rentrée, une fois que le préfet – actuellement en vacances – aura pris connaissance du dossier."




La seule solution pour qu'il ne reviennent pas c'est de le retirer définitivement du milieu.

Monsieur le préfet, une fois ces vacances terminées, n'aura qu'une solution pour revenir dans la légalité: assurer les fonctions régaliennes de l'état dont la sécurité des biens et des personnes.
Les troupeaux étant un bien il doit utiliser tous moyens a sa disposition pour cela y compris préventif...

Il veut éviter un élan... et percute un ours

http://www.ledauphine.com/france-monde/2012/08/16/il-veut-eviter-un-elan-et-percute-un-ours
"en Norvège, les ours bruns sont en revanche beaucoup plus rares, leur population étant estimée à environ 150 spécimens dans le pays scandinave."


C'est la même chose en Italie, il n'y en a pas beaucoup et pourtant ils se font percuter sur les routes?

C'est pourtant le contraire, les chasseurs vous l'expliquerons, le nombre d'accident et proportionnel a la population, donc quand il y a des accidents la population se porte bien...
Mais pour faire plaindre l'animal cela est présenté différemment, par certaines sources...

jeudi 16 août 2012

« Nous ignorons à qui bénéficie le loup mais savons à qui il porte préjudice »




«  Nous ignorons à qui bénéficie le loup mais savons à qui il porte préjudice »

31.07.12 - T. BASTERRA | LLANES.




Les syndicats d’éleveurs soutiennent les éleveurs des Picos de Europa dans leur demande de réduction de la population de loups sur le versant asturien du Parc National. « Nous sommes totalement sur la même ligne que leur pétition. Tous les jours des informations nous arrivent sur les nouveaux dégâts et nous avons même prévenu la Conseillère à l’Elevage et l’Agriculture que ça ne pouvait plus durer », affirme Ramón Artime, président de ASAJA /Association des jeunes Agriculteurs, équivalent du CNJA en France/ pour les Asturies, qui assure : « ce ne sont pas les indemnisations que veut l’éleveur, ce qu’il veut c’est vivre de son exploitation, mais lorsque les dommages se produisent il veut bien sûr qu’on les lui paie et ce n’est pas ce qui se fait ». Le président régional de ASAJA estime que le Gouvernement de la Principauté devrait abonder un budget d’un millions d’euros pour tous les dégâts causés l’an dernier par le loup, et il lui demande de prendre une décision : « Il faut savoir une fois pour toutes ce qu’on préfère dans les Asturies : ou les éleveurs, ou les animaux sauvages ».



De son côté, le Secrétaire Général de l’UCA /Section asturienne de l’UPA : Union des petits agriculteurs et éleveurs/,  Joaquín López, assure que : « ce qui l’emporte dans les Picos, c’est le loup » et s’il reconnaît au canidé le droit d’avoir un espace protégé, « sa population est aujourd’hui totalement incontrôlée. » Il fait remarquer : « dans les Picos, le petit bétail a été rentable pour les fromages qu’il permet de fabriquer et qui, comme le Gamonèu et le Cabrales, offrent une importante valeur ajoutée », mais les attaques ont aussi affecté ces deux productions : « ces deux fromages ne peuvent être produits en plus grande quantité à cause du loup, c’est un prédateur qui attaque davantage brebis et chèvres qui sont des proies plus faciles. »

«  Nous ignorons à qui bénéficie le loup mais savons à qui il porte préjudice. Chaque année il y a davantage de déclarations d’attaques et de moins en moins de chèvres et brebis dans les Picos ce qui a des conséquences sur l’environnement  », ajoute López qui rappelle que le problème ne se pose pas uniquement dans cette zone Est mais que d’autres zones des Asturies partagent le problème, c’est le cas à Aller, Teverga ou Grado, sans oublier la zone Sud Ouest de la région.



Mercedes Cruzado, secrétaire générale de COAG /principal syndicat agricole espagnol, il coordonne des associations régionales ou provinciales très soucieuses de leur indépendance/, soutient la même position : « On ne peut plus continuer à accepter les dommages causés par le loup. On perd beaucoup d’argent à cause de lui, que ce soit celui dépensé par l’Administration pour compenser les dommages et les éleveurs le verraient bien plus utile à de nouveaux plans d’amélioration du secteur, ou celui perdu par les éleveurs eux-mêmes pour les dommages qui ne sont pas compensés ». Elle considère que dans la zone Est comme dans toute la région : « tout le terrain susceptible d’être utilisé par le bétail devrait être libre de loups ».



Traduction : B.Besche-Commenge, ASPAP/ADDIP


EELV défend à la fois le loup et le berger

http://tempsreel.nouvelobs.com/politique/20120816.AFP5868/eelv-defend-a-la-fois-le-loup-et-le-berger.html

""eelv ne soutient pas cette option, quelque peu sommaire et de courte vue", écrit dans un communiqué Gilles Euzenat, de la Commission nationale nature-environnement d'EELV. "Incitation à une infraction pénale qui plus est. Les écologistes sont, et ont toujours été, pour une ferme protection du loup et la coexistence dûment accompagnée entre cette protection et un pastoralisme retrouvé".


Ce n'est pas une infraction si c'est un canidé c'est prévu par la loi L.427.9
80 % des troupeaux attaqués ont mis en place les moyens dit" de protections" qui ne servent a rien.
Le retour du pastoralisme, si l'exemple c'est l'espagne avec la disparition d'aoc faut d'avoir du lait a transformer?



"Le retour du loup est naturel."

Seul ceux qui ont un intéret ( regarder les recommandation pour l'Italie) a ce retour le crois encore naturel




"les bergers et éleveurs engagés positivement dans la cohabitation avec le loup".
"
 
C'est quoi un  berger ou un éleveur engagé positivement dans la cohabitation avec le loup?
Il faut adhérer a eelv?
Faire un communiqué de presse?
Acheter un patou? et le laisser attacher au fond de l'écurie pour éviter qu'il morde un voisin?
Faire comme en Italie, recevoir la presse et la police pour dire que "touti va béné", puis dès qu'ils sont parti préparer tirer et empoisonner?
 
Il n'y a pas de cohabitation a ce jour avec ce prédateur, c'est l'occupation, le combat, la résistance, la guerre, le conflit...
 
eelv en participant au gouvernement:
Maintenant c'est le changement devrait saisir l'occasion d'appliquer les fonctions régaliennes de l'état et donc assurer la sécurité des troupeaux.