Pour que l'action de cette fédération continue penser a adhérer

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Page 2) Communiqué de presse et publication

Page 3) Photo de prédation

Page 4) Attaques de loups sur l'homme

Page 5) Combien d'animaux cruellement massacrés par les loups en France?


assemblée générale de la FAR

Pour une campagne et une montagne vivantes et dynamiques sans loup

AG





lundi 15 octobre 2012

Prochain Groupe National Loup : mardi 16 octobre 2012 - Des éleveurs qui se font rouler dans la farine

http://www.pyrenees-pireneus.com/Faune/Loups/France/Groupes-Loups/Groupe-National-Loup-GNL/2012-10-16-Groupe%20National-Loup/Prochain-GNL-Des-eleveurs-rouler-dans-la-farine.html

"





A peine croyable mais personne n’y voit rien tellement la farine est épaisse. La preuve est tout simplement dans le « Plan d’action national sur le loup 2008-2012, dans un contexte français d’une activité importante et traditionnelle d’élevage » comparée aux éléments du « Point d’information à l’attention des membres du Groupe National Loup, dans la perspective de la réunion du 16 octobre 2012 » dont nous avons pu nous procurer un exemplaire.
...

Que propose l’Etat pour 2013-2017 ?
Rien à priori. Aucun document de travail ne semble avoir été remis à ce jour. Ce qui laisse la porte ouverte à la précipitation pour renouveler un plan dans les mêmes termes que les années précédentes avec les mêmes constats :

  • Les prédations augmentent et avec elles le coût de gestion explose
  • La population de loups augmentent et s’élargi géographiquement
  • Les mesures de protection sont inefficaces
  • Le pastoralisme n’attire plus, certains éleveurs des Alpes du Sud cherchant même à aller s’installer dans les Pyrénées.
  • Les conséquences de l’abandon du pastoralisme conduiront à moyen terme à une réduction de la biodiversité.
  • Mais en contrepartie, les objectifs idéologiques des associations environnementalistes font leur chemin : l’ensauvagement des montagnes.
"

Comme beaucoup nous avons reçu l'annalyse dont sont tiré les extraits ci-dessus:

Le vrai problème n'est pas de savoir si les éleveurs doivent participer ou pas? ni comment? a ce "groupe d'élevage de loups pour attaquer les ongulés domestiques"!

La question est de savoir quelle revendication porter? sur quels critères?

le seul indicateur intéressant pour les éleveurs est le nombre d'animaux domestique prédatés.
C'est ce critère qui est mis en avant a l'étranger:
- aux USA pour réouvrir la chasse dans le montana avec un quota de 30% de l'effectif de loup, dans l'Idaho sans limite ( pour rappel un loup aux States mange environ 2,67 animaux domestiques par an; contre 15 a 20 en France)
- En Arménie, ou 200 primes étaient prévu par loup abattu pour une population d'environ 600 loups
- En Suisse: le concept" Chaque fois que 25 animaux domestiques sont tués en un mois ou 35 en 3 mois un tire de prélèvement est décidé jusqu'à réalisation ou cessation des attaques"

Les représentants des éleveurs au GNL doivent mettre l'état devant ces responsabilités: "Assurer la sécurité des biens et des personnes"

"Cela fait 20 ans que l’état ferme les yeux, il laisse faire les prédations en occupant les éleveurs par quelques primes dont la répartition n’est pas toujours équitable en fonction du type d’élevage. Cela fait 20 ans que l’Etat est complice de l’idéologie des associations environnementales dont les objectifs sont avant tout d’ensauvager les massifs par l’abandon du pastoralisme. Jamais le services de l’état n’ont été en mesure de respecter la volonté du législateur exprimé clairement dans l’artucle L113-1 du code rural. Jamais l’Etat n’a tenu ses engagements pour satisfaire quelques associations qui ne représentent rien ni personne. Les victimes du loup augmentent tous les ans mais toujours les services de l’Etat expliquent que la situation s’améliore ou se maintien. Une fois encore les services de l’Etat, pour le prochain GNL se satisfont de la situation alors qu’il faut y mettre un terme de manière efficace et immédiate en faisant c'est le constat de l’échec total des deux précédents plan loups qui n’ont JAMAIS atteint leurs objectifs. Pire, ils ont contribués à empirer la situation.

Aujourd’hui il faut que les associations écologistes et le Ministère de l’écologie se retirent du jeu et que cette affaire soit régler régionalement par les éleveurs et non des amateurs."
 
Le paragraphe ci dessus traduit en langage de comptoir donne:
"
Cela fait 20 ans que l'état semble se comporter en truand de l'élevage en installant des loups dans les pâturages et en protégeant ces criminels! L'état semble ce comporter non seulement comme un complice de ces braqueurs des alpages, mais comme le patron qui demande tous les ans 30 % de dégâts supplémentaires..."

Soit l'état et le GNL prennent des dispositions immédiates pour faire baisser de moitié la prédation chaque année. Soit les éleveurs doivent quitter ce groupe loup qui n'a rien d'obligatoire... et disparaîtra comme le groupe ours, la gestion du dossier prédateur revenant au "comité de massif" et bizarrement cela changera immédiatement la gestion car ce ne sera plus des fonctionnaires parfois très militants qui déciderons mais des habitants du massif confrontés a ce problème...

 



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