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AG





lundi 7 janvier 2013

Etat d'urgence en Sibérie après des attaques de loups

http://fr.news.yahoo.com/etat-durgence-sibérie-après-attaques-loups-151315516.html

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La république de Iakoutie est en état d'urgence. Dans cette région du nord-est de la Sibérie, des meutes de loups déciment les troupeaux de rennes et de chevaux, rapporte l'AFP. Les autorités locales ont créé des brigades spécialisées dans la chasse au loup, qui sera officiellement ouverte le 15 janvier pour trois mois.
Les brigades de chasseurs créées pour l'occasion recevront une récompense qui pourrait atteindre «une somme à six chiffres» selon les autorités locales, soit au moins 100.000 roubles (2.500 euros) pour chaque loup abattu. La saison de chasse pourrait également être prolongée afin de réduire le nombre de loups dans la région.
La population de loups en Iakoutie est estimée à 3.500 individus, mais les autorités estiment qu'il faudrait la réduire à 500.
Les meutes de loups affamées ont tué l'an dernier 313 chevaux et 16.111 rennes dans les élevages.
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C'est brigitte bardot qui a du conseiller a poutine de donner des primes pour tuer les loups...

Il faut que le ministre de l'intérieur, s'informe et prenne les dispositions utile pour éviter que nous en arrivions en france a cette même extrémité

7 commentaires:

  1. et si l'Etat français donnait une prime aux bergers pour chaque loup tué en tir de défense ?

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  2. Pas possible ! Car l'Etat français donne déjà des primes aux bergers dont les brebis sont tuées par les loups ! Ce qui devrait faire du loup le meilleur ami des bergers français car au moins avec les brebis mangées par le loup, les éleveurs sont sûr d'en toucher quelque chose. Alors que sur le marché de la viande et du lait, c'est nettement moins sûr !!!

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    1. Vous devriez déjà apprendre a faire la différence entre berger et éleveur!

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    2. Ah, oui, effectivement. Excusez pour le vilain amalgame ! C'est vrai qu'à toujours entendre les mêmes gueuler, on finit par ne plus voir qu'eux...
      Parce que bizarrement, les éleveurs bovins, on ne les entends pas très souvent crier au loup. Peut être parce que cet élevage-là est un peu moins "sensible" aux grands prédateurs...

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    3. Contrairement à ce que disent certains « pro-loups », l'éleveur n'est pas « très content de toucher
      l'indemnité » par brebis attaquée et répertoriée.

      En effet d'une part:

      Il préfère garder sa brebis vivante, qu'il a sélectionnée avec amour et professionalisme, afin qu'elle soit parfaitement intégrée au troupeau, au mode de vie de ce troupeau et à la région dans laquelle est élevé ce troupeau!

      Ce n'est pas son rôle de nourrir le loup! Même s'il le fait indirectement, car la faune sauvage sensée être le garde manger du prédateur, se nourrit exclusivement dans les champs et pâturages des agriculteurs étant donné que rien ne pousse sous les bois de résineux qui nous envahissent.(bonjour la biodiversité, si les élevages disparaissent!)

      L'indemnité ne tient pas compte du désarroi et du stress qu'occasionne une attaque, tout en sachant que se qui se produit une fois peut très bien se reproduire dans le temps!

      D'autre part:

      Après une attaque sur des brebis gestantes, il faut savoir que 30 à 50 % des mères vont perdre leurs petits et cela n'est absolument pas pris en compte!

      Si l'éleveur a perdu une petite quantité de reproducteurs, il aura interet à attendre l'année suivante et sélectionner lui-même dans ses naissances les agnelles de remplacement, car il est pratiquement impossible d'introduire une petite quantité d'animaux venant de l'extérieur dans un troupeau. En effet, les nouvelles venues seront rejetées, perçues comme des intruses et cela évite aussi les problèmes sanitaires (import de germes nouveaux dans un cheptel qui n'est pas immunisé). Autant d'agneaux qui ne seront pas vendus et non pris en compte dans l'indemnité.

      Dans le cas de pertes importantes, il faudra se résoudre à introduire des animaux étrangers, qui ne seront pas forcement adaptés, ni génétiquement, ni socialement, avec tous les risques de transmission de maladies et d'intégration que cela induit.

      Dans tous les cas, il faudra attendre la production des futurs agneaux, plus d'une année en général, pour savoir si l'incorporation est réussie. Autant de manque à gagner qui n'est pas pris en compte.

      Et dans toutes les situations, reste toujours la possibilité d'une nouvelle attaque

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  3. "Ce qui devrait faire du loup le meilleur ami des bergers français"

    Et oui mais c'est raté, comme quoi ce n'est pas avec une poignée de billets distribuée aux éleveurs, qu'on leur fera accepter de servir de garde-manger aux prédateurs.

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    1. Ouais, n'empêche que vous la prenait quand même la poignée de billets...
      Mais vous avez raison, on a beau être dépendant, le plus important, c'est d'être rebelle !!! Vous avez l'âme d'un 68ard ! Qui l'eût cru ?! J'aime !!!

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