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assemblée générale de la FAR

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AG





mercredi 20 mars 2013

Le loup et l’ours, auxiliaires de l’écologie profonde

http://www.lesobservateurs.ch/2013/03/20/le-loup-et-loursauxiliaire-de-lecologie-profonde/
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Au nom de la sauvegarde de la biodiversité, le “Plan loup” prétend protéger «strictement» un animal dont l’espèce serait «menacée d’extinction » ou « en voie d’extinction ». Il n’y a rien de plus faux : le loup ne figure pas à l’inventaire des espèces menacées ou en danger de l’Union internationale pour la conservation de la nature ; sa population est qualifiée de « stable ». On peut même affirmer aujourd’hui qu’elle est en forte expansion…
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On évalue actuellement la population de loups en Suisse entre quinze et vingt individus, avec au moins une meute de quatre à six individus dans les Grisons. Parmi eux, combien de loups d’élevage (ou semi-sauvages) en provenance du Parc national des Abruzzes ? Ces animaux élevés en Italie ne peuvent franchir seuls les zones industrielles et autoroutières du Nord de la Péninsule ; ils ont manifestement été « transportés » dans les Alpes. On aurait même observé, en Gruyère, un cas d’héliportage qui devrait faire l’objet d’une décision judiciaire
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Prétexte invoqué : « L’article 9 de la Convention de Berne offre déjà suffisamment de possibilités de résoudre les conflits, même dans un pays comme la Suisse qui, au moment de la ratification de la Convention, n’a pas exprimé de réserve à l’encontre du statut de protection du loup ». Et vlan ! L’absence de réserve émise lors de la ratification revient comme un boomerang dans la figure d’une classe politique qui, au seuil des années 80, n’a rien vu venir. Mais pourquoi les gardiens européens de la Révolution lupine s’abstiennent-ils, dans leur réponse, de faire la moindre allusion à la stabilité, voire à l’expansion du canis lupus en Europe ? Et pourquoi une Convention censée s’occuper de la faune sauvage protège-t-elle strictement des animaux d’élevage, semi-sauvages ?
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voici l'analyse de louis dollo:
http://www.pyrenees-pireneus.com/Faune/Loups/Europe/Suisse/2013-03-20-Loup-Suisse-Mensonges-Manipulations.html
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Ci-dessous, le journaliste suisse Jean-Philippe Chenaux met en lumière certaines pratiques qui ressemblent à ce qui a été vécu en France. Il suggère des accusations qui, si elles étaient avérées, pourraient bien remettre en question le comportement de certains fonctionnaires et associations de protection de l’environnement déjà mises à mal sur d’autres sujets.
Dans cet article il nous montre que l’écologie politique, que ce soit en Suisse ou ailleurs, n’est qu’une vaste imposture et constitue une grande escroquerie dans tous les sens du terme :
  • Escroquerie morale à l’égard de personnes sensibles à la protection de l’environnement
  • Escroquerie financière en trompant les donnateurs et en utilisant des fonds publics dans des conditions discutables et incontrôlées.
En attendant d’autres révélations plus précises, notons déjà ce qui suit d’autant qu’il est assez peu probable que les organisations écologistes soient en mesure de démentir ces observations.
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a lire absolument
 

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