Pour que l'action de cette fédération continue penser a adhérer

Liste des pages

Page 1) accueil

Page 2) Communiqué de presse et publication

Page 3) Photo de prédation

Page 4) Attaques de loups sur l'homme

Page 5) Combien d'animaux cruellement massacrés par les loups en France?


assemblée générale de la FAR

Pour une campagne et une montagne vivantes et dynamiques sans loup

AG





jeudi 31 janvier 2013

Le loup en France : Une catastrophe, humaine, sociale, économique et écologique


La montagne n’est pas faite que d’activités sportives et de loisirs. Bien avant randonneurs et alpinistes existaient les bergers, activité qui a évolué avec le temps mais dont les fondements sont toujours les mêmes depuis plus de 2000 ans. Si les contemplatifs peuvent admirer un loup et être fascinés par sa présence et son observation en liberté, dans ce qu’on appelle, peut-être à tort, un milieu naturel, les professionnels millénaires des montagnes en subissent toujours les mêmes conséquences dans les mêmes conditions.
…..
C’est la raison pour laquelle, depuis 30 ans pour l’ours, 20 ans pour le loup, on crée de manière totalement surréaliste un concept d’espaces sauvages pour entretenir une espèce auto-déclarée, par les organisations écologistes, d’emblématique et en situation de vulnérabilité et de risque fort de disparition. Concept autant mensonger qu’idéologique et sectaire (Cf. Polémique autour de l’UICN ). On parle aussi de « cohabitation ». Concept tout aussi surréaliste car, sauf dans quelques littératures et contes enfantins, cette notion reste au niveau de l’imaginaire mais n’est jamais vécue de manière réelle. Après 20 à 30 ans de volonté idéologique, le constat est là : c’est impossible. Mais faut-il encore que les décideurs l’observent, le comprennent et l’admettent.
…..
De multiples attaques gagnent maintenant les collines provençales, le Luberon, la Sainte-Victoire, la Sainte-Baume, etc…
……
On préconise plus de chiens, de bergers et des clôtures plus élevées. C’est ce qui se fait depuis 20 ans. Sans succès. Alors que faire ?
….
Et les hommes dans tout ça ?

Lorsqu’on parle de grands prédateurs, on parle plus de la protection des bêtes sauvages, ours et loup, que des hommes et leurs troupeaux. Manifestement, le bien-être animal et humain n’est pas fait pour eux. Priorité au sauvage ! Est-ce acceptable ?...
….
En montagne, l’homme et ses bêtes sont la base de toute vie depuis plusieurs millénaires. Le vrai problème est peut-être que nous l’avons oublié au profit de la seule bête sauvage.
En savoir plus…. http://www.pyrenees-pireneus.com/Faune/Loups/Pastoralisme-Elevage/Loup-Catastrophe-humaine-sociale-economique-ecologique.html

mercredi 30 janvier 2013

débat au sénat

Par manque de temps tous ces liens ne seront pas commenté, mais cela vous permetra de vous faire une idée sur le texte, les positions des uns et des autres, et les incohérences de certains...

http://www.kairn.com/news_nature_80751.definitive-senat-vote-zones-exclusion-pour-loups.html

http://www.senat.fr/les_actus_en_detail/article/zone-dexclusion-pour-les-loups.html
Compte rendu des débats: http://www.senat.fr/cra/s20130130/s20130130_1.html#par_23
Le chemin restant a faire pour cette loi: http://www.senat.fr/dossier-legislatif/ppl12-054.html
en savoir plus:

http://www.lepoint.fr/politique/le-senat-se-dechaine-contre-les-loups-30-01-2013-1622043_20.php

"On compte aujourd’hui 250 spécimens sur le territoire français, un chiffre en augmentation de 17 % par an"

Deux erreurs en une seule phrase:
-La progression de la population de loup, c'est près de 30% par an
-Environ 250 loups c'est le comptage début 2012, avec une méthode française qui limite mécaniquement le nombre de loups présent

"Le loup, grand prédateur sauvage, fait partie de notre patrimoine naturel

http://www.tele-animaux.com/actualite%2cinfo%2c-le-loup--grand-predateur-s---:10827.html
"La ministre de l'Ecologie, Delphine Batho a défendu "la cohabitation" du loup avec l'homme "un défi qu'il nous faut relever", s'opposant mercredi au Sénat à une proposition de loi du RDSE (à majorité PRG) visant à créer des zones de protection contre le loup.>
"

C'est bizarre, une fois réécrite par la commission la proposition de loi colle parfaitement au déclaration de madame la ministre sur sa gestion différencié entre les zone ou il y a peu de prédation et celles ou il y en a beaucoup...


"Rappelant que le loup est une espèce "strictement protégée" par la Convention de Berne et une directive européenne, elle a convenu de la "détresse" et de "l'exaspération" des éleveurs face aux attaques. Elle indiqué que "5.848 victimes" avaient été indemnisées en 2012 pour "un coût de l'ordre de 2 millions d'euros". "En 2011, 4.913 victimes de prédations du loup ont été recensées contre 2.680 en 2008" soit "un doublement des dégâts causés par le loup en 4 ans", a-t-elle développé.
"

Pour l'impossibilité de la cohabitation il suffit de regarder les chiffres sachant que 80% des troupeaux attaqués avaient mis en place les moyens dit "de protection" imposés par l'administration...

Pour l'espèce "strictement protégée" madame batho doit avoir du mal a se regarder dans une glace:
Il y a peu le ministère de l'écologie a décerné un agrément a l'uicn france, celui ci ne respecte pas les règle de l'uicn monde...
La protection des loups et des ours vient de cette supercherie, car la convention de berne, comme la directive Habitat se base sur la liste rouge de l'uicn

 

Le gouvernement s'oppose à de nouveaux lâchers d'ours dans les Pyrénées

http://www.franceinfo.fr/societe/le-gouvernement-s-oppose-a-de-nouveaux-lachers-d-ours-dans-les-pyrenees-876379-2013-01-29
"
Delphine Batho ne veut pas de lâchers d'ours avant d'avoir les résultats d'une étude plus large de la biodiversité des Pyrénées, y compris de la question des troupeaux de brebis dans les montagnes. Dans sa réponse à Bruxelles, elle rappelle qu'il y a eu des naissances d'oursons.....
...
Pour Bruno Besche Commenge, président de l'association de sauvegarde du patrimoine d'Ariège Pyrénées, opposé au lâcher d'ours, la France ne peut pas être condamnée par Bruxelles dans ce dossier. "Ce ne sont pas des ours pyrénéens. Les spécimens qui y sont viennent de Grèce et de Slovénie. Ils n'apportent rien à la biodiversité des Pyrénées qui est semi-naturelle : c'est-à-dire un mélange du sauvage et de l'activité des hommes. La démarche du gouvernement nous paraît donc très intéressante."...
"
 

Alain Bertrand : « Les éleveurs ne dorment plus et sont terrorisés »

http://www.ledauphine.com/drome/2013/01/29/alain-bertrand-les-eleveurs-ne-dorment-plus-et-sont-terrorises
"La France va-t-elle ouvrir la chasse aux loups ? C’est ce que souhaite Alain Bertrand, maire de Mende et sénateur PS de Lozère auteur d’une proposition de loi, étudiée le 30 janvier, visant à créer des zones d’exclusion pour les loups et autoriser les éleveurs à abattre les prédateurs menaçant leurs élevages. Cette proposition de loi examinée aujourd’hui au Sénat relance la polémique au moment où se met en place un nouveau groupe national loup, censé plancher sur l’épineuse question de la cohabitation entre les prédateurs et leurs proies, les brebis.
"

Tous le monde sauf l'aspas sait que la cohabitation est impossible...

pour plus d'info le dossier du dauphiné libéré:

A lire aussi

Le Sénat vote des zones d’exclusion pour les loups

http://www.ledauphine.com/actualite/2013/01/30/le-senat-vote-des-zones-d-exclusion-pour-les-loups
"
 la proposition de loi portant sur des zones d’exclusion pour les loups a été adoptée ce mercredi par le Sénat. Le texte du rapporteur Alain Bertrand, sénateur PRG de Lozère a finalement recueilli une majorité grâce à l’apport de voix venues de l’UMP du groupe RDSE (radicaux de gauche et de droite) et aussi d’une vingtaine de sénateurs socialistes.
"

Ce texte pour avoir un peu de crédibilité devra être appliqué, pas comme Article L113-1 (en particulier l'alinéa 8) ou Article L2212-2 (en particulier l'alinéa 7), c'est comme l'obligation d'assurer la sécurité des biens et des personnes! Pourquoi n'est elle pas appliqué pour la protection des troupeaux?


"Le texte précise que les préfets devront définir ces zones dans chaque département concerné soit dans les régions Rhône-Alpes, Auvergne, Provence-Côte d’Azur, Franche-Comté.
"

A notre connaissance il manque au moins: languedoc roussillon, midi pyrénées, champagne ardenne, alsace...
Ce texte est pour le moment un modèle d'iniquité!
Soit il s'applique a chaque fois qu'il y a plusieurs attaques dans un même canton,( dans l'ensemble du territoire national)
soit l'auvergne doit attendre encore 18 ans avant d'être sur un point d'égalité avec les alpes maritimes...

La protection des loups reposant sur un mensonge, il est surprenant de voir les élus continuer a débattre comme cela sans en tenir compte

En Ardèche, la majorité et l’opposition ne s’entendent pas sur le loup

http://www.ledauphine.com/ardeche/2013/01/30/en-ardeche-la-majorite-et-l-opposition-ne-s-entendent-pas-sur-le-loup
"
L’opposition demande que « le département de l’Ardèche soit reconnu comme zone d’exclusion du loup ». Elle réclame également « une modification des règlements et de la législation aux différents niveaux ». Pour la majorité, il faut avoir une vision plus large : ne pas seulement évoquer le loup mais également « le véritable fléau » des chiens errants."



Vouloir disculper les loups en fesant porter le chapeau a des chiens divagants...
Mais sur quelles bases? et pourquoi?

Les études prouvent que l'impact des chiens n'a rien a voir par rapport a celui des loups... pas le même mode, pas la même violence, pas le même nombre de tuès et de bléssées, pas la même répétition dans les attaques...

et pour les chiens des lois biens différentes, Article L427.8 et L427.9


 

mardi 29 janvier 2013

Le nouveau plan loup examiné le 5 février

http://www.eleveursetmontagnes.org/actualite/13-actualite/646-le-nouveau-plan-loup-examine-le-5-fevrier
"Yves Derbez, président d'E&M, assistera à la prochaine réunion du Groupe National Loup, le 5 février prochain, dans les bureaux du ministère de l'écologie, à Paris. A l'ordre du jour de cette réunion, l'examen du nouveau Plan Loup 2013-2017 par les membres du GNL. Les travaux de cette journée importante seront conclus par les deux ministres de l'écologie et de l'agriculure, Delphine Batho et Stéphane Le Foll, présents pour la première fois ensemble lors d'une réunion du GNL. Une présentation de l'ouvrage "Protection des troupeaux contre la prédation" par le CERPAM est également programmée.
"


Nous rappelons aux ministres que" le changement c'est pour maintenant"...
Depuis 20 ans nous avons eu beaucoup de promesse nous attendons des actes!
Le seul critère que nous retiendront c'est le nombre d'animaux prédatés.

La protection des loups se base sur un mensonge, il est donc temps de corriger ces erreurs!

action symbolique contre la suppression de postes à l’ONF

http://www.ledauphine.com/hautes-alpes/2013/01/28/gap-action-symbolique-contre-la-suppression-de-postes-a-l-onf

" En début d’après-midi, ils ont pris la parole devant le comité directeur, qui, du coup, n’a pas pu se tenir, avant d’installer symboliquement 14 silhouettes noires devant leurs locaux, symbolisant les postes appelés à disparaître. Le matin, ils avaient organisé une réunion pour « alerter les élus »."


Ces agents qui ont l'immense avantage de pouvoir travailler dans des endroits que beaucoup rêve de visiter...

Ne poussent ils pas le bouchon trop loin quand ils sont rémunéré pour aller faire une randonné sous prétexte de compter les loups?

http://www.pyrenees-pireneus.com/Faune/Loups/France/Alpes/Nombre-Loups-Comptage/Loup-Alpes-combien-de-loups-en-2008.html
"travers le réseau loup, regroupant 1000 personnes : agents de l'OFNCS, de l'ONF, des Parcs nationaux et régionaux, représentants des agriculteurs, des chasseurs et du secteur associatif de protection de la nature. "

chasseur et agriculteur n'étant pas rémunérés pour cela... les autres devraient aussi le faire de façon bénévole.

lundi 28 janvier 2013

La liste rouge « nationale » et l’UICN



Veuillez trouver ci dessous un document rédigé par  B. Besche-Commenge, pour l' ADDIP
sur les incohérances de l'UICN france qui ne respecte pas le réglement de l'UICN monde

 "

La référence constante de la Commission et des Groupes de Travail/ directive Habitats à l’UICN oblige à aborder le problème de la liste rouge nationale dès qu’il s’agit du loup comme de l’ours. En effet, seule une manipulation des données et des directives de l’UICN elle-même conduit à les placer dans les espèces menacées. Elle se joue à trois niveaux :

 

a) – cette liste rouge nationale elle même précise à deux reprises dès le début, page 4, que si la France est « en première ligne au niveau mondial », il ne s’agit pas des espèces animales ou végétales quelles qu’elles soient mais bien de celles « mondialement menacées ». Cependant lorsqu’est directement abordée la situation nationale cette référence s’évanouit pour devenir, page 7 : «  /…/ la Liste rouge nationale vise à dresser un bilan objectif du degré de menace pesant sur les espèces à l’échelle du territoire national. Il s’agit de réunir les informations disponibles les plus récentes sur le risque de disparition de notre territoire des espèces végétales et animales qui s’y reproduisent en milieu naturel ou qui y sont régulièrement présentes. » (Je mets en gras).

 

Il s’agit donc bien à présent de toutes les espèces, quel que soit par ailleurs leur statut mondial.

 

Or, les directives de l’UICN pour  l’élaboration des listes nationales (http://www.uicn.fr/IMG/pdf/UICN_2003_Application_regionale_des_criteres_Liste_Rouge.pdf.) prévoient elles mêmes des restrictions et critères dont il n’est pas tenu compte dans l’élaboration de la liste rouge française et qui pour loup et ours situent l’urgence à un tout autre niveau que celui qu’ils y occupent :

 

b) – Le premier n’est pas obligatoire, mais révélateur de la philosophie qui sous tend la démarche de l’UICN. Page 11 en effet, le Comité mondial envisage la possibilité d’établir des filtres avant d’inscrire telle ou telle espèce dans cette liste. Notamment celui-ci : « Par exemple, une région peut décider qu’elle n’évaluera pas une espèce présente dans la région ou qui a été présente dans la région au siècle précédent et dont l’effectif représente moins de 1% des effectifs de la population mondiale. Tous les filtres appliqués doivent être clairement décrits dans la documentation. » Le formule en gras montre clairement que c’est bien par rapport à la situation de l’espèce au niveau mondial que la liste rouge nationale doit préciser sa propre situation.

 

Dans le cas d’une espèce non menacée ni mondialement, ni au niveau de l’Europe (c’est le cas de l’ours brun et du loup (1)), l’adoption d’un tel filtre se comprend plus particulièrement : un si faible pourcentage n’est en rien révélateur du devenir de l’espèce, là encore envisagée au niveau de la population mondiale. Pour les deux espèces le % nationale par rapport à l’Europe est infime, il est proche de 0 au niveau mondial.

Encore ne s’agit-il même pas de ce qui pourrait être une hypothétique sous population de l’espèce avec des caractéristiques spécifiques, d’ordre épigénétique par exemple, à conserver en tant que telle.

 

c) - Cette référence mondiale, qui s’évapore page 7 de notre liste rouge nationale alors qu’elle y est soulignée au début, est réaffirmée, cette fois comme obligatoire, dans les directives de l’UICN :

 

page 5: « il ne faut pas seulement examiner les conditions qui règnent dans la région mais aussi le statut du taxon à l’échelle mondiale et la proportion de la population mondiale qui se trouve dans la région. En conséquence, il est recommandé que toute publication résultant d’un processus d’évaluation régionale mentionne au moins trois mesures: 1) la catégorie régionale pour la Liste rouge, 2) la catégorie mondiale pour la Liste rouge, et 3) une estimation de la proportion (%) de la population mondiale présente dans la région»

page 18 : « 4. Dans la Liste rouge régionale imprimée devraient figurer au moins le nom scientifique et le nom de l’auteur de la description du taxon, la Catégorie régionale pour la Liste rouge (en utilisant les abréviations anglaises) et les critères remplis, la Catégorie et les Critères de l’UICN pour la Liste rouge mondiale et la proportion (%) de la population mondiale présente dans la région. »

 

Mais … ces % ne figurent pas dans notre liste rouge nationale, qui ne respecte donc pas ce critère majeur de l’UICN ! Ainsi réduite au seul territoire qu’elle observe, l’établissement de notre liste rouge repose sur une confusion entre biogéographie des espèces, et frontières historico-politiques, d’autant plus infondée lorsqu’il s’agit d’espèces non spécifiques à tel pays et non menacées. La page d’accueil du site européen de l’UICN commence d’ailleurs par cette affirmation tout à fait justifiée : « la nature ne connaît pas les frontières humaines dessinées sur les cartes ».

Cette restriction contraire aux demandes de l’UICN, conduit à placer des espèces nullement menacées mondialement, dont la présence sur notre territoire n’apporte strictement rien à leur situation ni leur devenir, sur le même plan que des espèces endémiques ou en situation réellement critique mondialement. C’est déjà ce problème que soulignait en 2004 la Stratégie Française pour la Biodiversité : « La diversité du vivant reste une notion complexe, souvent mal appréhendée, au-delà de l’attachement à certaines espèces emblématiques (dauphin, baleine, ours…) ». Distorsion majeure non seulement par rapport aux préconisations UICN, mais par ses conséquences sur les actions concrètes à mener en faveur des espèces : l’effort et les moyens affectés aux unes, médiatiques et spectaculaires, qui n’en ont pas besoin pour se porter très bien y compris en Europe, venant au détriment  des autres, elles effectivement menacées.

 

Cette dimension de choix budgétaire est soulignée par l’UICN dans l’étude citée en note 1. Page 24 (36 du pdf), chapitre « Red List versus priority for conservation action », « la disponibilité en financement et personnel, le ratio coût/efficacité » sont des facteurs devant guider « le choix des priorités ». Et dans la décision, dont il est bien souligné qu’elle est « du ressort des autorités régionales chargées de les déterminer », les trois facteurs à prendre à compte retrouvent ces paramètres que la liste rouge nationale « oublie » de mentionner : « il est important de considérer non seulement la situation régionale mais aussi le statut du taxon dans une perspective globale et la proportion de la population globale présente dans la région ».

 

C’est bien un élément central que la liste rouge nationale évacue. La focalisation financière sur ces deux espèces emblématiques se fait aux dépens d’espèces moins médiatiques et, plus largement, d’actions de protection des milieux dans leur globalité : c’est elle qui commande toute la biodiversité et son évolution. Il faut remarquer que cela commence avec toute la vie des sols, facteurs biotiques et abiotiques, dont étrangement aucune de ses bactéries, aucun des micro organismes indispensables ne figure dans la liste alors que l’on sait les menaces qui pèsent sur eux.

Ce sont pourtant eux qui conditionnent l’échelonnement des espèces et toute la biodiversité depuis les végétaux de toutes sortes, les herbivores qui s’en nourrissent et à leur tour permettent aux carnivores et aux charognards (mammifères, oiseaux, insectes) d’exister. Curieuse façon de concevoir la biodiversité que cette focalisation sur des espèces non menacées et situées au bout de cet échelle, on met les bœufs après la charrue !
 
 

B. Besche-Commenge, ADDIP –


 
(1) page 22 du pdf « The Status and Distribution of European Mammals », le tableau 3 : « espèces menacées en Europe et au niveau de l’UE 25 » (The threatened species at the European and EU 25 level), ne mentionne ni l’un ni l’autre. Temple, H.J. and Terry, A. (Compilers). 2007. The Status and Distribution of European Mammals. Luxembourg: Office for Official Publications of the European Communities. viii + 48pp.
 
"

Le loup est à Cellettes

http://www.lanouvellerepublique.fr/Loir-et-Cher/Loisirs/24H/n/Contenus/Articles/2013/01/27/Le-loup-est-a-Cellettes
"
« Quand on parle du loup, il est à la porte », c'est le thème choisi pour l'exposition présentée à la salle des fêtes et dans la salle du conseil de Cellettes. Jocelyne Thomas est l'invitée d'honneur de cette exposition ; connue sous le nom de « La Dame aux loups », elle a suivi et approché depuis une dizaine d'années une meute de dix-sept loups dans la réserve de Planète Sauvage à Port-Saint-Père. Elle racontera les émotions vécues pendant de longues années d'observation auprès des loups et son attachement envers eux.
"


La phrase ci dessous et a la limite du mensonge:
" elle a suivi et approché depuis une dizaine d'années une meute de dix-sept loups dans la réserve "
En effet ces loups étant, clos dans un petit parc, bien nourri, et régulé d'une façon ou d'une autre cela n'a rien d'exceptionnelle...
Nous serions pliés de rire si un éleveur utilisait ces mots:" il a suivi et approché depuis une dizaine d'années un troupeau de 300 brebis ...."
 "Il a suivi et approché depuis une dizaine d'années un troupeau de 40 vaches laitières..."

Elle aurait élevé des chèvres, des vaches, des chiens.... les émotions auraient étés les mêmes...

Chasseurs et agriculteurs : des remparts contre les bêtes sauvages

http://www.ledauphine.com/insolite/2013/01/26/chasseurs-et-agriculteurs-des-remparts-contre-les-betes-sauvages

"
Contrairement à ses voisins rhônalpins, le sanglier des Hautes-Alpes n’a pas vraiment l’esprit citadin. C’est surtout sur les routes de campagne que ces bêtes sont redoutées des automobilistes.
Dans le département, ce qui plaît à l’animal, comme à ses amis classés dans la catégorie “animaux sauvages”, c’est d’aller batifoler dans les exploitations paysannes, à la périphérie des villes. « Il y a une population importante, mais pas au point d’envahir les communes », rassure Jacques Chevallier, président de la fédération de chasse du département.
"

Les exploitations agricoles auraient donc plusieurs utilités, elles protèges les habitants des bêtes sauvages...

Les chasseurs régulent les bêtes sauvages pour la sécurité des automobilistes et des habitants...

dimanche 27 janvier 2013

L’ours des Pyrénées demeure un élément de discorde

http://www.midilibre.fr/2013/01/26/l-ours-demeure-un-element-de-discorde,633217.php#Séquence_1

"
L’Etat français est, pour la première fois, sous le coup d’une mise en demeure de la Commission européenne, saisie par les pro-ours, dans le cadre de la procédure dite d’infraction qui peut aboutir à une éventuelle saisine de la Cour de justice européenne, et doit lui répondre d’ici fin janvier. "La réponse du gouvernement se fera dans les délais", indique le ministère de l’Écologie.
"



La procédure ayant été lancée par les pro ours, l'état devrait déduire le double des frais que cela coutera des subventions accordées a ces associations et leurs amis


Sans acceptation sociale pas de lachés...
Encore moins besoin de faire de laché vu que leurs protections sont basés sur des mensonges...

Les prédateurs

http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=Zr0-yEddI9s

Un film de 11 minutes sur l'impact des loups sur l'élevage et le milieu

Un autre presque identique
http://www.youtube.com/watch?v=Vw0SgGqbST4

“L’an dernier, le loup a coûté 1, 5 million d’euros au département”

http://www.ledauphine.com/insolite/2013/01/26/l-an-dernier-le-loup-a-coute-1-5-million-d-euros-au-departement

"Difficile de parler d’animaux sauvages sans aborder le loup. L’animal n’a pas que des amis dans les Hautes-Alpes et se situe dans le viseur des agriculteurs et des chasseurs. Au sens figuré, puisque sauf exception, ils n’ont pas le droit de lui tirer dessus. À leur grand regret. « Il mange les chevreuils, les cerfs, les chamois, détruit la faune et n’a pas de prédateur », regrette Jacques Chevallier. « L’an dernier, il a coûté 1,5 million d’euros au département. » De son côté, Julien Ariey-Bonnet confirme et dénonce aussi « un manque de régulation face à l’augmentation de la population. »"


Si le coût n'est pas directement imputable au conseil général, la surprotection des loups implique d'autres coût jamais comptabilisé:
la mise en place des moyens de protection coûte 20%  de plus a la charge des éleveurs...
La surprotection des loups constitue un sabotage de l'activité économique... qui n'est jamais comptabilisé

Parlement montre son engagement envers les programmes de rétablissement de l'ours brun

http://www.noticiasdenavarra.com/2013/01/23/sociedad/navarra/el-parlamento-muestra-su-compromiso-con-los-programas-de-recuperacion-del-oso-pardo

"La Junta, ha afirmado Jiménez, tras alegar falta de información y de tiempo suficiente para pronunciarse, decidió finalmente no incorporarse al proyecto y Navarra quedó fuera del programa LIFE."


Le parlement de navarre se désole de ne pas faire partie du plan life et de perdre les fonds européens...
l'important ce n'est pas de protéger les ours mais d'émarger pour toucher des subventions...

Les ariégeois doivent bondir en lisant que pour le gouvernement de de navarre trouvent que les lâchés en france sont une réussite et ne nuisent pas a l'agriculture car les ours se réfugieraient dans un habitat particulier qui a été identifier en amont...

Mais ce parlement n'a pas du aller voir la page face book: http://www.facebook.com/groups/115079015302113/
Quand il dit que les ours des picos de europa ne sont pas connu pour leurs prédations...

 

Une ponette victime des loups

http://www.chevalmag.com/Actualites/Divers/Une-ponette-victime-des-loups

"« C'est dur à avaler, vous en voulez à la terre entière quand vous découvrez ça » dit-elle en repensant à la ponette morte sous les crocs des loups. Grisette était la jument dominante du groupe de 5 poneys qui passaient l'hiver ici. Pour l'éleveuse et pour le propriétaire des poneys Grisette a probablement perdu la vie en cherchant à défendre ses congénères. Elle n'était pas la proie la plus facile pour les loups car elle n'était pas la plus petite du groupe. Son courage l'aura perdu. Faute de brebis, rentrées pour l'hiver à la bergerie, les loups se seraient rabattus sur les poneys, des proies encore très inhabituelles en France ce qui ne manque pas d'inquiéter certains propriétaires d'équidés de la région. Non loin de là Pierre qui dirige le gite rural de la Ferme des G... avoue sa « peur au ventre » quand il doit laisser seul ses 3 double poneys dont une jument gestante malgré la présence d'un grillage de 1,50m doublé d'une clôture électrique et surélevé de fils électriques inclinés à 45° !"


Mais qui va rembourser pierre pour ces frais supplémentaires, pour le temps passé a faire ces clôtures inutiles pour ces chevaux et seulement justifié par la présence de loups qui recherchent de la nourriture...

samedi 26 janvier 2013

"En Haute-Loire, le loup a déjà gagné la partie"

http://www.leveil.fr/haute-loire/En-Haute-Loire-le-loup-a-deja-gagne-la-partie-102013
"
Car le loup est bien là, aux portes de la Haute-Loire. Selon l'association Alliance, il a même déjà "gagné la partie" : "Tous les lieux en France où il y a des forêts importantes, pas d'agriculture mécanisée et une densité de population très faible, auront le loup en 2020. On va passer de 4 à 5 meutes, à environ 60 meutes dans le Massif Central".
Le président du mouvement, Manoël Atman, explique que le loup alpin italien emprunte un corridor de migration par le sud du Massif Central, puis en direction du Gard et de l'Hérault, mais aussi de la Lozère, de la Haute-Loire et du Cantal : "Il passe par les tunnels de circulation sous les autoroutes, la nuit, et cherche des couloirs de migration pour rester le plus à couvert possible".
"Pour le causse Méjean, un expert de l'Office national de la chasse et de la faune a été envoyé sur place. Il a dit qu'il y avait deux loups. Mais en fait, ils sont une vingtaine. Il y a au minimum deux ou trois meutes".
"

Qui est ce président? après une brève recherche sur internet nous trouvons:
"Alliance avec les loups

Mairie de Langogne

BD Notre Dame

48300 Langogne

allianceaveclesloups@yahoo.fr
FB Alliance avec les Loups Association
Président : Manoël Atman (alias Adrien Pouchalsac) Tél : 06 20 07 50 96 manokomix@yahoo.fr


Secrétaire : Philippe Michel

Trésorier : Mathieu De Chabalier
"
Pourquoi ce président a-t-il deux identités?

Mais le plus surprenant est de savoir quel partie les loups auraient gagnés? avec l'aide de qui?
car soit cet interlocuteur est un devin ou un affabulateur, soit il participe en toute illégalité a la Recomandation 17 ( en particulier E pour l'italie)...


Nous ne connaissons pas ce multi-identitaire, mais si il y avait 3 meutes de loups sur le causse méjan, il y aurai au minimum 6 a 10 attaques sur les troupeaux par semaines, cela pourrai aller jusqu'à une trentaine d'attaques par semaine...

dans l'attente de véritable information sur les loups présents dans le massif central, il serait bon d'attribuer les propos a une personnes et de confirmer ces données au près de l'administration par exemple: Monsieur Marboutin responsable du réseau loup lynx a l'oncfs

Mais 20 loups cela fait environ 20x52=1040 ongulés par an pour les nourrir, si c'était vrai sur un aussi petit territoire, les chasseurs seraient au moins aussi mobilisés que les éleveurs...

 

vendredi 25 janvier 2013

COMPTES RENDUS DE LA COMMISSION DU DEVELOPPEMENT DURABLE

http://www.senat.fr/compte-rendu-commissions/20130121/devdur.html
Ci dessous des extraits du compte rendu des travaux de la commission du sénat...
le texte de loi étant adopté il sera débattu devant le sénat le 30 janvier...

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Face à cette situation, ce texte vise à créer des zones d'exclusion pour les loups, dans les territoires où les attaques, par leur nombre, menacent les activités agropastorales. En zones de montagne, ces activités sont importantes pour l'emploi des hommes et l'entretien des paysages, mais elles sont fragiles et les troupeaux sont une proie facile, surtout lorsqu'en moyenne montagne, leur dispersion les rend difficiles à protéger contre les loups. Les autorités publiques reconnaissent elles-mêmes la faible efficacité de la protection dans ces zones de moyenne montagne, ce qui n'est pas vrai pour la haute montagne où les estives sont plus courtes et les troupeaux plus importants. Un arrêt du Conseil d'État, en 2008, a constaté l'insuffisance des moyens de prévention, argument qui a compté dans l'indemnisation des éleveurs....

...Ensuite, nos règles actuelles satisfont les objectifs que vous poursuivez avec ce texte. Le plan quadriennal et les arrêtés ministériels organisent une intervention graduée, qui va de la protection des troupeaux jusqu'à l'autorisation d'abattre des loups, en passant par des tirs d'effarouchement. Ce dispositif est conforme au droit européen et à nos engagements internationaux, il fonctionne pour peu qu'on l'applique complètement. Je l'ai vu à l'oeuvre dans la montagne ardéchoise, où un éleveur, qui subissait à lui seul la moitié des attaques recensées comme relevant d'une « responsabilité loup non écartée », est parvenu à se défaire de la menace par des tirs de défense... ( ndlr: il va falloir exporter les ardéchois dans les alpes...(humour))
 il y a tout à fait la place pour des mesures spécifiques aux éleveurs du Massif central, pour mieux protéger leurs activités pastorales face aux attaques des loups... (ndlr et l'égalité entre les citoyens)

...Nous arrivons à des situations tendues, qui nous conduisent à nous poser plusieurs questions : faut-il prélever ou non ? A quelle hauteur ? En outre, comme vous l'évoquiez, des incertitudes existent entre les décisions prises en haut et celles qui sont prises sur le terrain. Il est nécessaire de débattre et de voir comment nous pouvons protéger les espèces, sans pour autant qu'il y ait, pour certaines, une expansion au-delà de ce qui est souhaitable pour le maintien des activités humaines...

...Par exemple, si l'on s'en tient aux attaques portées à la responsabilité du loup, le loup français mangerait deux fois plus de brebis que le loup suisse ! Cela veut dire que nous sommes assez peu efficaces, ou que la brebis française est plus goûteuse. Cela montre qu'ailleurs en Europe, certains pays ont une habitude plus grande de la gestion du loup.... (ndlr il y a aussi beaucoup plus de tir de loup en suisse en proportion)

... Il ne s'agit pas d'être caricatural en disant qu'il doit y avoir des loups partout sans régulation. Plusieurs interventions ont insisté sur le terme« équilibre ». Je crois effectivement que ce terme doit faire partie du débat. J'entends des choses intéressantes de la part du rapporteur, lorsqu'il explique qu'il y a des zones de haute montagne où l'on arrive à trouver des solutions de cohabitation. Il s'agit d'avoir une analyse fine, sur le fond, étayée de rapports scientifiques. Cela me permet d'être un peu sévère sur la méthode employée par les auteurs de cette proposition de loi. Au vu de la complexité scientifique du dossier, y compris de ses enjeux sociaux, économiques, culturels, on ne peut pas passer par une proposition de loi alors que l'État a mis en place un groupe de travail sérieux, qui va rendre son rapport dans quelques semaines. Certains pourraient arriver à la conclusion qu'il s'agit d'une proposition de loi de posture. Je ne l'imagine pas un instant pour ma part, mais déposer une proposition de loi quelques jours avant la conclusion du rapport, ressemble un peu à de l'affichage. Je crois aujourd'hui qu'il faut attendre les conclusions de ce groupe de travail....

...Il doit y avoir une recherche de consensus entre les éleveurs et les associations de protection de la nature... (ndlr c'est totalement impossible avec des saboteurs de votre outil de travail)

...En revanche, il a le mérite de soulever le débat sur la façon dont ces questions sont traitées, qu'il s'agisse du loup aujourd'hui, de l'ours dans les Pyrénées hier, du cormoran chez nous, qui a été bien protégé mais vient pêcher désormais dans les lacs et les pêcheries et décime souvent des récoltes aussi... Nous ressentons bien que l'administration a du mal à entendre les territoires. L'enjeu soulevé est celui d'un équilibre écologique. L'élevage pastoral extensif amène beaucoup de biodiversité. Il y a des territoires où la déprise agricole est le principal problème, avant celui de la réintroduction ou de l'extension du loup. Le pastoralisme a permis de lutter contre la déprise agricole, ce qui est une priorité. Il faut que nous écoutions les territoires. Les problèmes sont trop souvent vus de très haut et la discussion de ce texte au Sénat amènera peut être l'administration centrale à plus de modestie et à prendre en compte véritablement nos territoires. Notre groupe est assez partagé sur la question de savoir s'il faut adopter ou non ce texte, mais nous considérons en tout cas qu'il est utile et que cette discussion aidera peut-être à faire redescendre les décisions à un niveau plus local. On comprend bien qu'il faut une vision nationale, mais il faut une application territoriale....

...Nous avons fait un travail considérable concernant les renards pour remettre un équilibre au niveau de la faune sauvage et protéger la perdrix, le faisan, le lièvre. Il faut une régulation. Ce texte a le mérite d'instaurer une logique de territoire, donc nous émettrons un avis favorable...

...Cette proposition de loi pèse de manière défavorable sur les travaux de ce groupe, elle crispe le monde associatif. Or, dans ce domaine-là, on ne peut pas y arriver sans consensus. Le monde associatif n'est pas sectaire, insensible ou fondamentaliste dans son approche du sujet. (ndlr Le groupe loup est il légale? les associations touchent des subventions pour détruire l'économie et sont jusqu'au boutiste)

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L'amendement n° 1 est adopté.
Intitulé de la proposition de loi
M. Stéphane Mazars, rapporteur. - L'amendement n° 2 porte sur l'intitulé même du texte, afin de remplacer l'expression« zones d'exclusion pour les loups » par les termes« zones de protection renforcée contre le loup ».
L'amendement n° 2 est adopté.
La proposition de loi est adoptée dans la rédaction issue des travaux de la commission.

Baptême des ours : indécent et grotesque

http://www.conseil-general-jacques-behague.com/ours-indecent-grotesque/
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Je viens d’apprendre par la presse du baptême de 3 oursons, aujourd’hui presque adultes puisque nés en 2011. Je trouve la démarche provocatrice, indécente, grotesque et scandaleuse
Provocatrice
Il s’agit de prédateurs lâchés au milieu des troupeaux de bergers pyrénéens ....

Grotesque
Parler de baptême pour des animaux en laissant croire qu’ils sont proches de l’homme est grotesque. Le comble étant de choisir un parrain décédé depuis un an....

Quant aux pyrénéens, ils ne sont pas prêts de l’adopter, ce qui est rassurant pour les éleveurs, le développement durable des vallées et la défense de la biodiversité de nos montagnes grâce à leur présence et leur action.
Jacques Béhague Conseiller Général du canton de Luz
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Article sans langue de bois a lire en totalité...

Lettre au ministre

Mercredi 23 janvier 2013, des éleveurs du haut diois ont été reçu par Monsieur le Sous Préfet a Die.

Les éleveurs lui ont remis la pétition signé sur internet et une lettre d'accompagnement pour le ministre...

Ces éleveurs ont rappelé au sous préfet leurs inquiétudes pour la prochaine saisons car rien n'a été fait dans le diois pour réduire les prédations beaucoup trop nombreuses... et donc il est malheureusement prévisible que cela recommence! ce que les éleveurs ne peuvent supporter

Les éleveurs ont rappeler avoir mis en place les mesures de protection proposé par l'état.
Ces mesuresne sont pas efficaces...

Les éleveurs demandent le respect de leur travail, ils en réclament la protection...
 

Rando raquettes : "sur les traces du loup"

 

http://www.guide-grenoble.com/activite.php?id=6#calendrier

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Le 27/01/2013

Depuis quelques années, le loup fait parler de lui. Décrié par les uns, adoré par les autres, il reste mystérieux et suscite des émotions fortes. Cette randonnée organisée en partenariat avec la FRAPNA éclairera la vie de ce grand prédateur et de ses proies, en suivant leurs traces, en expliquant son rôle et les problèmes liés à sa présence dans les Alpes françaises. Une découverte passionnante de la forêt hivernale et des animaux qui la peuplent. Tarif : 20 € + location raquettes (5€) / Inscription nécessaire. Dénivelée : environ 400m. RDV : 8h45, parking de la MC2 Sortie limitée à 15 pers.
Tarif : 20 Euros
Nombre de participants minimum : 4 (maximum : 15 )
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étant surpris de lire cette annonce nous nous sommes renseignés...
La "professionnel" qui encadre cette rando ne sait pas encore où elle va la faire ce sera en fonction des possibilités de voir des traces!
Mais comment sait-elle que le dénivelé fera environ 400 métrés? et que se sera dans le sud vercors...

Quand a ces qualifications pour parler des problèmes et du rôle des loups?
 
Pour information ce poney a été tué dans le diois, sur la carte c'est juste un peu plus au sud que le sud vercors ou vous serrez peut être dimanche...
 
Ce n'est pas avec une rando dans l'année que vous nous ferrez croire que le loup peut éventuellement créer des emplois..
 
 

Des éleveurs du Diois reçus demain par le sous-préfet

http://www.ledauphine.com/drome/2013/01/23/des-eleveurs-du-diois-recus-demain-par-le-sous-prefet-exxq

"Suite aux prédations importantes sur leurs animaux domestiques (brebis, poney, chiens) à l’automne dernier, des éleveurs du Diois seront reçus demain ...
"

le mur de l'euro nous empêcher d'en savoir plus...

Ils ont surement expliqué leurs inquiètudes vis a vis de la prochaine saison, du futur plan loup...
Ils ont surement inviter monsieur le sous préfet a appliquer les lois comme expliqué sur le panneau
qui rappel les obligations de l'état et donc du sous préfet qui le représente:
l'obligation d'assurer la sécurité des biens et des personnes, de respecter les lois dont L113.1, L2212.2... Application des articles 9 de la convention de berne, et 16 de la directive habitat....

Urgent pétition avant le 21 mars

pétition papier a imprimer
https://workspaces.acrobat.com/?d=Cj0wfzf50f7Vuth0CfULPg
pétition internet a signer en ligne
http://www.mesopinions.com/petition/justice/soutiens-eleveurs-face-aux-predateurs-particulier/9593
Il est important de diffuser et de faire signer la pétition dont le lien est ci dessus car ce qui c'est passé ce jour là n'est pas normale, les agents constatateurs ( garde, oncfs, vacataire...) lorsqu'ils se rendent chez un éleveur pour faire le constat d'une prédation doivent savoir que la personne qu'ils vont rencontrer est une victime qu'il faut accompagner, assister... victime a répétition qui est a bout physiquement et nerveusement...

Pour mémoire nos précédents articles:
1 Mercantour, Qui agresse Qui
2 Mercantour, Qui agresse Qui


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la prédations impose une tension de plus en plus difficile à supporter à ceux qui la vivent.Certains
éleveurs subissant des attaques répétées, ne dorment plus et sont en proie à une grande fatigue
autant physique que morale.

Les relations se tendent avec les interlocuteurs qu'ils croisent au cours de leurs différentes activités,
les randonneurs, les chasseurs, les « autres utilisateurs de l'espaces » et aussi avec les agents des
structures qui gèrent les constats de prédation.

Ces derniers doivent respecter un certain nombre de règles lors de l'établissement de ces constats,et
notamment : - se rendre sur le site pour voir la carcasse qui ne doit pas être déplacée
-respecter une totale neutralité vis avis de l'éleveur ou du berger
-ne pas donner d'avis sur le résultat, celui ci étant réservé à la DDT voir à un service spécialisé de l'ONCFS

Ce n'est visiblement pas ce qui s'est passé le 8 aout 2012 sur l'alpage de Didier Trigance.
Après avoir dût réclamé avec insistance la venue d'un agent pour réaliser un énième constat, Didier
s'est vu demandé par ce garde du PNM, de transporter les carcasses sur un lieu plus facile d'accès.
Devant son refus il s'est vu agressé verbalement par un stagiaire accompagnant l'agent du parc. Ce
dernier ne faisant rien pour calmer son élève, Didier n'a pas été en mesure de retenir sa colère et a
malheureusement eu une réaction de violence qu'il a regrette aussitôt.

Aujourd'hui une procédure judiciaire est menée à son encontre pour coup et blessure

Il a besoin du soutien du plus grand nombre d'entre nous."

jeudi 24 janvier 2013

Deux ourses pourraient être lâchées dans les Pyrénées

http://www.sudouest.fr/2013/01/24/deux-ourses-vont-etre-lachees-dans-les-pyrenees-945015-4344.php
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Ferus et Pays de l'Ours-Adet effectueront le lâcher soit au printemps 2013 soit en 2014 selon les autorisations du gouvernement....

Les pro-ours le revendiquent : il manque des femelles dans l'ouest du massif des Pyrénées. Face à ce constat, les associations Ferus et Pays de l'Ours-Adet, instigatrices des premiers lâchers en France en 1996 et 1997, ont décidé de déposer un dossier pour lâcher deux ourses dans les Pyrénées centrales et occidentales.
Un projet que les pro-ours espèrent voir aboutir rapidement puisqu'ils parlent du printemps 2013 ou 2014.
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-C'est très surprenend de voir ces associations abreuvées de subventions nous expliquer que leurs projet sera financé uniquement par des fonds privés?

-C'est encore plus haurissant de les entendres dire qu'ils attendent l'autorisation du gouvernement pour réalisé des lachés qui sont pourtant interdits par la convention de berne et la directive habitat...

Si ces associations invoquent les articles 9 de la convention de berne et 16 de la directive habitat, ces articles ne pourront plus être refuser, ou omis...lorsque les éleveurs ou habitants des territoires réclameront leurs appliquations

Cela sera une bonne nouvelle pour l'ensemble des habitants des térritoires concernés car cela obligera l'état a appliqués ces textes dès les premiers dégats sur le bétail, les ruches, ou la proximité des habitations en application du principe de précaution...
L'application de ces textes dont la lecture fut trop longtemps partisane, autorise le prélèvement de ces prédateurs (ours, loup, lynx, vautour...) y compris par anticipation des dégâts dont ils pourraient être les auteurs...
 

En perte de crédit - et de crédits- l’ADET et FERUS sont aux abois

https://workspaces.acrobat.com/?d=M*aM917tSRgd1NCBUvnOdg
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Les associations Férus et Pays de l’Ours – Adet annoncent deux nouveaux lâchers d’ours « autoorganisés» dans les Pyrénées pour l’année 2013. Face à leur perte progressive de crédit – et de crédits financiers, et faute de nouveaux lâchers d’ours pour relancer leurs affaires, ces deux associations ont choisi de se mettre dans l’illégalité tant au niveau Français qu’Européen.

Car lâcher des ours dans la nature est heureusement interdit en France ! Quant au niveau Européen,
L’article 2 de la Directive Habitat conditionne la mise en oeuvre de lâchers d’ours à l’acceptation
sociale des populations.

Justement, ADET et FERUS sont aux abois car l’Europe a légitimement abandonné le principal
programme de financement dédié à l’ours (Life) sur la base de la non-acceptation sociale des
populations pyrénéennes. (1)
 Encore en 2011, de 60 à 76% des pyrénéens ne voulaient plus de lâchers.

L'Europe prévoit le respect des populations concernées et Adet et Férus entendent le bafouer !
C’est tout simplement inacceptable. Nous demandons à l'Etat français et à la Communauté
Européenne de condamner la conduite irresponsable d’Adet et de Férus :
1) En cessant immédiatement de financer ces associations qui utilisent l'argent des contribuables pour attaquer l'Etat en justice et interpeller la commission européen, (2)

2) En retirant à ces associations toute mission de service public qu’elles ne pourront plus assumer
désormais, preuve étant faite de leur partialité et de leur jusqu’au-boutisme,
3) En affectant les crédits ainsi économisés, alors que l’argent manque partout, au développement
économique vital pour les citoyens et l’avenir de notre massif.

Enfin nous appelons nos élus des territoires à questionner Francois Archangeli, élu Europe-Ecologie au Conseil Régional de Midi-Pyrénées et Président de l'Adet-Pays de l’Ours, sur sa responsabilité dans l’organisation de cette action passible de poursuites pénales.
 
Les pyrénéens, les français et les européens n’ont pas besoin de plus d’ours (3) ils ont besoin de plus

mercredi 23 janvier 2013

Voeux présidentiels

A l'occasion des voeux a la jeunesse du président de la république, l'Association des Éleveurs et Bergers du Vercors Drome Isère, Solidarité Pastorale, la Fédération des Acteurs Ruraux ont été reçu par Madame La Conseillère du Président de la république.

La rencontre fut cordiale et constructive, nous lui avons remis la document ci dessous, a l'attention du Président se la République:

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M. Le Président de la République
Palais de l’Élysée
55 rue du faubourg Saint-honoré
75008 Paris

Monsieur Le Président de la République


Vous venez à Grenoble présenter vos vœux à la jeunesse. A cette occasion, nous sollicitons de votre part, un entretien afin de vous exposer les problèmes rencontrés par l'élevage du fait de la présence du loup. Ces derniers sont en relation directes avec le sujet de votre visite au moins en ce qui concerne la jeunesse rurale.

L'année 2012 est celle de la commémoration des 20 ans de présence du loup en France et dans les Alpes. Les protecteurs des prédateurs et l'état parlaient alors de cohabitation. Les éleveurs mettaient en avant l'impossibilité de celle-ci. Cela est maintenant prouvé.

20 ans l'âge de la jeunesse, mais aussi l'âge de l'entrée dans le monde du travail, l'âge de ceux pleins d'espoir qui cherchent à créer leurs exploitations agricoles...

Mais le peuvent-ils encore?

Les loups sont présents dans de nombreux secteurs d'élevages, les moyens de protection proposés par l'administration ont été largement mis en place par les éleveurs: sans résultat ( en 2012 plus de 80 % des troupeaux attaqués dans la Drôme avait des mesures de protections).

L'avenir de la jeunesse, l'emploi, l'aménagement du territoire sont menacés par ces loups dont la population croit de plus de 25% par an.

Après 20 années d'immobilisme dans ce dossier nous espérons que le changement soit pour maintenant ! Car nous pensons qu'il serait opportun de reconsidérer la situation en profondeur en prenant de la hauteur et en dépassant le seul aspect d'une espèce emblématique dont nous savons qu'elle n'est pas menacée, ni en Europe, ni dans le monde. Il s'agit, de votre part et de la part de vos services, de vous exprimer clairement sur cette question fondamentale : que veut-on faire de nos territoires ? Étant entendu qu'en 20 ans, la preuve a été faite que la cohabitation est un leurre intellectuel qui n'existera jamais sur le terrain.


Comptant sur votre compréhension, et espérant vous rencontrer, croyez, Monsieur Le Président, à l'assurance de nos salutations respectueuses.


Les présidents de l'association des éleveurs et bergers du vercors dromes isère, Solidarité pastorale et de la fédération des acteurs ruraux
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mardi 22 janvier 2013

Les subventions des ecologistes ne connaissent pas la crise en rhone alpes

https://workspaces.acrobat.com/?d=epHhQBFAuZMHCb9kjBQmKg

Comme vous pouvez le constater sur le fichier ci joint les subventions des associations écologistes ne connaissent pas la crise en Rhône Alpes ...
Elle passent a:
 
Total au 31 décembre 2012    2 325 962,00 €

Total au 31 décembre 2011    2 045 738,00 €

13,7 % d'augmentation en ces temps de crise cela ferai rever n'importe quel français...

Mais seul les élus font ces cadeaux aux écolos!

Pour le citoyen lambda ce sera une augmentation d'impôts...

Pensez a dire a vos élus ce que vous pensez de ce comportement...

 

lundi 21 janvier 2013

"La clé, c'est de surveiller les troupeaux"

http://www.reportage.loup.org/html/acteurs/franco.html

"La cohabitation entre loup et élevage est-elle possible dans le Mercantour ?
Elle sera de toute façon difficile, la cohabitation. Mais j'ai pu constater qu'en Italie, cela a été possible. A partir de moyens d'accompagnement dans les zones à risque, je pense qu'on pourrait assez facilement arriver à cette cohabitation.
Vous connaissez beaucoup d'exemples où la cohabitation se déroule bien ?
Il y a plein de pays où des loups cohabitent avec l'homme et l'élevage. L'Espagne, par exemple, contient 2500 loups. Ca veut dire que là-bas les éleveurs n'ont jamais arrêté de surveiller leurs troupeaux et sont arrivés à trouver des solutions qui permettent la cohabitation entre les prédateurs et l'élevage.

"

Ces propos de Gaston franco sont beaucoup repris sur le net ces derniers jours...
Mais après vérification cet article doit avoir environ 10 ans!

Nous avons au cours des 10 dernières années vérifiés que cela ne va pas mieux ni en italie ni en espagne, pour vérifier il suffit de regarder dans les liens des sites amis dans la colonne de droite de ce blog...

Nous avons envoyé un mail a Monsieur Gaston Franco pour savoir si il était toujours d'accord avec ces propos ou si compte tenu de l'évolution de nos connaissances:
-l'augmentation du nombre de loups en france est de près de 30% chaque année
-la protection des loups est basé sur un mensonge
 

Eléphants tuberculeux, faut-il les abattre ?

http://www.pyrenees-pireneus.com/Pastoralisme/Sanitaire/Elephants-tuberculose/Elephants-tuberculeux-faut-il-les-abattre.html

"Une situation à peine croyable qui nous montre le niveau du ridicule de la situation. Lors de la maladie de la vache folle des milliers de bêtes ont été tuées. Jamais une seule association de protection des animaux ne s’en soit émue. Surtout pas Brigitte Bardot. Et lorsqu’on sait que c’est sur insistance de Nicolas Hulot qu’une telle décision a été prise, il y a de quoi s’insurger contre le comportement de ces associations dites « protectrices des animaux » composées de zoophile au sens d’amoureux des bêtes avec des motivations les plus diverses. Il est stupéfiant que l’on porte plus d’importance aux bêtes qu’aux humains. Pire, dans ce cas-là, si la tuberculose est avérée, c’est avoir la volonté de mettre les humains en danger. Nous pouvons raisonnablement nous interroger sur l’équilibre de ces personnes n’ayant aucune considération pour ses semblables.
Dans tous les cas de figure, pour ce qui concerne la tuberculose, il ne doit pas y avoir deux situations : celle de Brigitte Bardot qui pourrait conserver les éléphants par amour des bêtes et celle des éleveurs qui n’ont pas à aimer leur bête. La loi et la même pour tous, même pour Brigitte Bardot."

 

dimanche 20 janvier 2013

Gers : le loup solitaire n’a pas été revu

http://www.sudouest.fr/2013/01/17/gers-le-loup-solitaire-n-a-pas-ete-revu-937660-2675.php

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« Ce loup solitaire, très loin des meutes, a pu se déplacer dans n’importe quelle direction. Il n’a pas forcément gagné les Pyrénées », indique le spécialiste.

Troncens, au sud du Gers, est le point le plus occidental de l’avancée du loup, revenu en France par les Alpes italiennes. Le loup espagnol est, quant à lui, réputé ne pas avoir franchi les crêtes pyrénéennes.
"


Le loup sachant se fondre dans le paysage, Il est rare de le prendre en photo...
Quand a faire un signalement a l'oncfs? pourquoi faire? quel serait l'intérêt de celui qui fait le signalement?

Pour la diffusion des loups, c'est simple en fourgon depuis l'italie comme recommandé par la convention de berne avec sa Recomandation 17 ( en particulier E pour l'italie)

samedi 19 janvier 2013

Le baptême des ours dans les Pyrénées ridiculisé par l’ADDIP

http://www.kairn.com/article.html?id=2512

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L'association ADET-Pays de l'ours qui milite en faveur des ours dans les Pyrénées n'est pas franchement majoritaire sur la chaîne de montagne. Bien au contraire. Accusée de toucher d'importantes subvention du Ministère de l'Ecologie (120 000 euros c'est dernières année) pour ne rien faire, elle tente d'exister par des actions médiatiques sans beaucoup d'intérêts. Quant à Ferus, elle est pratiquement inexistante. Néanmoins, et en marge des pyrénéens, ces deux associations sont à l’origine du baptême des ours comme en témoigne cet historique établi par l’ADET.
« Baptême », un terme inapproprié
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Cet article résume assez bien ce qui c'est dit sur le sujet:  Le ridicule de baptiser des ours

Monté-carlo 2013 un super accueil...

Comme a chaque visite a bouvante le chaleureux accueil des populations locales et a souligner, celui des spectateurs aussi, italiens, bulgares, dromois, isérois,...
Chacun fais connaissance et discute de sport, mais aussi des autres sujets présents dans l'actualités...
le tout en partageant le casse croûte et l'anti-gèle...

Un grand merci a bernard et toutes sa famille, au barbu et a toute sa tribue, a l'équipe des "neveux" de tonton pascal...
 
 





Les loups sont très souvent dans les conversations et les agriculteurs, qui ont le soutien des chasseurs se demandent Si il y aura des avancées dans le nouveau plan loup

Le Parc de la Vanoise cristallise la méfiance

http://www.ledauphine.com/savoie/2013/01/18/le-parc-de-la-vanoise-cristallise-la-mefiance
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“Ne signez pas ce chèque en blanc” : l’adresse de ce Haut-Mauriennais aux élus du territoire, mercredi lors de la réunion publique organisée par la commission d’enquête sur le projet de charte du Parc national de la Vanoise, résume l’état d’esprit des 200 personnes présentes. Leur crainte ? Que les communes qui rejoindraient l’”aire optimale d’adhésion” imaginée par les rédacteurs ne perdent toute autonomie de décision sur leur territoire.

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Article a lire en totalité sur le dauphiné libéré...
Yves paccalet emmène une poignée d'écolo, et la direction du parc tentent d'imposer leurs visions aux populations locales et aux élus...
Les élus seuls représentant légaux du peuple auront ils le dernier mots

Le baptème des oursons, une mascarade grotesque

http://www.pyrenees-pireneus.com/Faune/ours/France/Ours-Baptise/2013-3-oursons/2013-01-18-Bapteme-Oursons-Mascarade-Grotesque-FERUS-ADET.html
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Suite au baptème des oursons nés il y a plus d'un an dans les Pyrénées, l'ADDIP, coordination pyrénéenne, ridiculise les adorateurs du grand prédateur à travers un communiqué diffusé à la presse. Le 27 novembre 2012, nous avions déjà commenté ce comportement grotesque sous le titre "De la pauvreté de la pensée écologiste". Vu le nombre de réponses obtenus sur la totalité de la population française, nous pouvons affirmer que les préoccupations sont ailleurs et que la démarche est non seulement grotesque mais également indécente lorsque nous voyons les milions d'Euros dépensés alors que de nombreux français ont des difficultés pour simplement vivre. Autant s'amuser de cette démarche assez lamentable.
Dans les 1980, ARTUS, ancêtre de FERUS, s’était associé à un groupe de presse pour imposer ses idées. Métro est plus modeste mais la démarche semble être un copier / coller. Ce qui n’est pas la preuve d’une imagination débordante.
Les lecteurs de Metro ont été mis à contribution depuis novembre pour trouver un nom aux trois ours nés en 2011 dans les Pyrénées. Ils s'appelleront Callisto, Soulane et Pépite. 20 000 réponses sur toute la France… soit les français se moquent de l’ours, ils ont d’autres préoccupations, soit le média est mauvais, mal ou non lu. Au choix, mais ce n’est pas une réussite, bien au contraire. Par ailleurs nous ne pouvons que constater que la population locale, au premier chef concernée par l’ours, s’est totalement désintéressé du sujet. Une preuve supplémentaire d’une absence d’adhésion sociale à un projet largement rejeté dans les vallées pyrénéennes
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Sur le site d'origine de cet article vous retrouverez toutes les réactions et le déroulement de l'histoire...


Nous trouvons bizarre de donner pour parrain une personne décédé! Cela est il voulu pour que ces ours le rejoignent rapidement?
 

Baptême de trois oursons dans les Pyrénées : réaction de l'ADDIP, coordination pyrénéenne

http://www.pyrenees-pireneus.com/Faune/ours/France/Ours-Baptise/2013-3-oursons/2013-01-17-Bapteme-Oursons-Reaction-ADDIP-Coordination-Pyreneenne.html

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Enfin ça y est, Ferus et l’ADET ont baptisé les Nounours !
Mais vraiment tout seuls …

On s’inquiétait, oui même nous, comment causer si les nouveaux Nounours n’étaient pas baptisés ? En fin ça y est, ILS L’ONT FAIT !!! Mais vraiment tout seuls.
16-01-2013 Ferus, Pays de l’Ours – Adet :
« Les oursons de 2011 ont un nom et un parrain - Pays de l’Ours – Adet a choisi parmi les 20.000 propositions récoltées fin 2012 via Internet et la page Facebook de Métro (partenaire de l’opération) les noms attribués aux trois oursons nés dans les Pyrénées en 2011. »
http://www.paysdelours.com/fr/pyrenees-les-oursons-de-2011-ont-un-nom-et-un-parrain.html?cmp_id=50&news_id=1098&vID=249#1098
http://www.ferus.fr/actualite/pyrenees-les-oursons-de-2011-ont-un-nom-et-un-parrain#more-19534
http://www.metrofrance.com/info/vous-avez-baptise-trois-oursons/mmap!iYltY9qOiBjfM/
16-01-2013 : INSEE
Au 1er janvier 2013, 65,8 millions d’habitants résident en France, dont 63,7 millions en Métropole.
http://www.insee.fr/fr/themes/tableau.asp?reg_id=0&ref_id=NATnon02145

RÉSULTAT :
0,03039 % des Français font joujou à donner des p’tits noms aux Nounours. A ce niveau là, c’est une secte, mais comme l’écrivent Ferus et l’ADET : « La forte participation cette année encore montre une fois de plus l’intérêt que suscite l’ours et le fort soutien à sa protection dans les Pyrénées. » (en gras dans le texte, ils n’ont peur de rien, même pas du ridicule !)
65.780.000 Français s’en tapent. 99,9696%.
Finalement 0,0304 % ça rassure sur l’état du pays. Y en a plutôt besoin en ce moment.
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jeudi 17 janvier 2013

2013, Un loup sur le Monté Carlo


 

Le rallye de Monté-Carlo va traverser vendredi la Drôme est en particulier le Vercors et le Diois très touché par les prédations des loups... avant de rejoindre les Alpes-Maritimes département le plus touché de France!


A cette occasion la FAR (http://federationdesacteursruraux.blogspot.com/) en partenariat avec les associations locales va déployer sont "cœur" (photo ci joints) sur le bord de la route du rallye à Bouvante (vers le cimetière) dans la spéciale Saint-Jean-en-Royans- La cime du mas…


La symbolique est fort pour ces ruraux de dire nous aimons notre pays, ce sport, les beaux paysages (façonné par plus de 3000 ans de pastoralismes), les belles voitures,...

 

Cette année nous attendons avec impatience l'application du slogan, « le changement c’est maintenant »

En effet la protection des loups se base sur un mensonge de l’UICN France(1) qui classe le loup comme espèce en danger, et ce en contradiction avec le règlement international. Mettre fin à cette contre vérité  devrait permettre au nouveau plan loup, 2013-2018, de faire baisser la prédation sur les troupeaux, ce qui fait partie des obligations de l’état qui doit assurer la sécurité des biens et des personnes, appliquer ses propres lois L113.1 (2) ; L2212.2 (3)…

 

Pour le moment, il n’y a pas de mobilisation de masse dans l’attente de ce nouveau plan. L’actualité fait que le 21 mars 2013 à Nice, si le procès n’est pas reporté, la base viendra probablement rappeler aux responsables politiques leurs responsabilités. En effet si les faits (4)(5) reprochés sont regrettés et regrettable, les agents constatateurs, lorsqu’ils se présentent chez un éleveur qui vient d’être victime d’une attaque sur son troupeau, doivent le respecter et l’accompagner comme une victime, appliquer leurs devoir de réserve